1. Le 7ème art et celui de mon homme


    Datte: 16/04/2020, Catégories: fh, cinéma, amour, noculotte, Oral pénétratio, ecriv_f,

    ... facile de réchauffer cet endroit… » J’essaie de prendre un air innocent, mais je ne suis pas sûre qu’il soit dupe. « Tu plaisantes ? » Mon Dieu, j’ai peut-être été trop loin ? Je n’insiste pas et nous allons prendre notre chocolat. Mais assise sur la banquette du café à ses côtés, je ne résiste pas à la tentation de laisser remonter ma jupe. Il ne peut pas ne pas remarquer les attaches de mon porte-jarretelles. Sous prétexte de me réchauffer, il devient calin, il m’embrasse de façon plus soutenue, sa langue se fait taquine, ses mains commencent à reconnaître le terrain, caressent mes hanches, se glissent sous mon pull, atteignent ma poitrine… Mais le lieu n’est pas adapté pour ce genre de choses, il faut trouver un autre endroit si on veut pouvoir se livrer plus tranquillement à nos caresses. La solution nous apparaît très vite : nous partons à la recherche d’une séance de cinéma commençant le plus vite possible. Les billets sont achetés pour la première séance qui vient. À peine les lumières éteintes, il revient à la charge. Cette fois-ci nous sommes à l’avant-dernier rang, seuls sur la rangée, seule une personne peut nous observer au dernier rang. Mais le film doit certainement la captiver. J’ai à peine le temps de comprendre ce qu’il m’arrive, ma jupe est déjà retroussée. Il devient passionné, ses mains s’aventurent partout, sous mon pull, sous ma jupe, le long de mes jambes, jusqu’à mon sexe… je suis presque allongée sur les fauteuils, ma poitrine est au vu de tout le ...
    ... monde, et pendant qu’il me caresse sa bouche prend possession de mes seins… Je perds pied. Un murmure essouflé dans mon oreille : « Tu me rends fou… ». Je peux sentir son sexe en érection dans ma main… Mon envie a rarement été aussi forte, il faut que je lui dise. « J’ai trop envie, viens en moi, maintenant… ». Brusquement il se place au-dessus de moi. Je ne pensais pas qu’il accèderait à mes désirs, mais j’en suis absolument ravie. Et lorsqu’il vient en moi, il n’y a plus de film, il n’y a plus de spectateurs, il y a juste l’assouvissement de notre plaisir… et c’est tellement bon ! Ses caresses, le fait de le sentir si fort en moi, mais aussi la situation, m’ont tellement excitée que le plaisir est là, immédiat, fulgurant. Nous nous rendons décents avant le rallumage des lumières… Blottie dans ses bras, je savoure mon bonheur. Je suis bien, tout simplement. Le film est terminé, mais difficile de nous quitter là-dessus… nous restons en délinquants pour la séance suivante. À peine les lumières éteintes, et de manière quasi réflexe, nos mains se remettent à chercher le plaisir de l’autre. Mais pas question de revenir à la situation précédente, qui manquait de praticité. Alors nous sortons dans le noir de la salle. Les portes battantes viennent de se fermer derrière nous, et me voilà violemment plaquée au mur. Sa main remonte ma jambe contre lui, et part à la recherche du haut de mes cuisses, libres des bas. Mon désir reprend vie de plus belle, peut-être même plus encore que les ...