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Bondage et cuissardes de cuir (1)
Datte: 17/04/2020, Catégories: Partouze / Groupe
A WowSexyBaby dont le fantasme m’a inspiré cette histoire Tout a commencé chez moi, un soir où je discutais des joies du sexe sur internet avec Carine, ma meilleure amie, une rousse flamboyante à la peau cuivrée et aux yeux verts. Je lui racontais ma découverte d’un site d’histoires érotiques, à partir duquel on pouvait engager des échanges par mails avec d’autres membres. — Et ça se passe bien ?, me demanda-t-elle. — Pour moi, jusqu’à présent, je trouve que c’est excitant. J’ai lié des contacts avec quelques hommes et quelques filles, sur des discussions assez hots. — Fais voir, tu m’intéresses ! J’allumai mon portable, et j’ouvris ma messagerie. Je lui montrai quelques conversations, certaines torrides. Nous avions même échangé des photos dénudées, avec des correspondant(e)s qui avaient gagné ma confiance. — Mais…. Je le connais, celui-ci !, s’exclama-t-elle en apercevant la photo d’un homme grand, aux cheveux d’un roux sombre, dans le plus simple appareil. C’est Eric, il habite dans mon immeuble ! Qu’est-ce qu’il te dit ? — Attends… Voilà ses messages. Son fantasme, c’est d’être attaché nu, sur une chaise, et de regarder deux filles faire l’amour. — Tu ne crois pas qu’on pourrait réaliser son rêve ?, me demanda Carine, toujours partante pour un plan cul. — C’est une bonne idée ! Nous avons commencé à imaginer l’organisation d’une soirée avec Eric. Carine voulait que je prenne en main son déroulement. Elle aimait jouer la soumission avec ses partenaires, et elle connaissait ...
... quelques dominatrices qui pourraient me prêter une tenue sexy adaptée. Avant de continuer, j’ai envoyé un mail à Eric : «Je suis avec une copine qui te connaît, et on te propose une soirée à trois, en suivant le scenario de ton fantasme. Es-tu OK ? » Quelques minutes plus tard, la réponse arrivait : « Bien sur, je suis d’accord. Dis-moi quand? Et le nom de ta copine ? » Nous lui avons fixé un rendez-vous le samedi suivant, chez lui, mais sans lui donner le nom de Carine. Le jour dit, Carine sonna à la porte d’Eric, qui poussa une exclamation de surprise en reconnaissant sa voisine. Elle portait un imperméable pour cacher la tenue que nous avions choisie pour elle, et elle exigea de bander les yeux de notre invité. C’était plus pour le mettre en condition, que par sécurité. Une demi-heure plus tard, Carine arrivait chez moi. Elle rentra en tenant Eric par le bras pour le guider, et je lui intimai l’ordre de rester les yeux bandés, jusqu’à ce que je lui enlève son bandeau. Carine profita de ce répit, pour enlever son imperméable. Dessous, elle portait un bustier sans bretelle en maille élastique bleue très ajourée, s’arrêtant bien au-dessus de son nombril. Elle n’avait pas mis de soutien-gorge, et les petites aréoles sombres de sa poitrine pointaient à travers les trous du tissu. En bas, sa minijupe en lin bleu était si courte qu’elle découvrait le bas de ses fesses, et même parfois son sexe. De mon côté, j’étais habillée – si on peut utiliser cet adjectif – tout en cuir noir. ...