Deutsche Gefahr
Datte: 18/04/2020,
Catégories:
fh,
hh,
hagé,
couple,
couplus,
extracon,
extraoffre,
cocus,
Collègues / Travail
hotel,
fête,
telnet,
contrainte,
vidéox,
facial,
Oral
pénétratio,
hsodo,
québec,
... mère me disait souvent… Elle lui fit un grand sourire qui lui donna littéralement envie de lui sauter dessus. Son décolleté brillait, éclairé par la lumières des gyrophares, et sa poitrine était tout ce qu’il y avait d’invitant. Son téléphone cellulaire sonna, et il fut surpris par le son qu’il entendit. Sara ? Le message s’afficha : Il eut brièvement de la difficulté à se concentrer, mais cela lui revint très rapidement. Après tout, la chose ne le surprenait pas outre mesure. Le seul problème à l’heure actuelle, c’est qu’il aurait aimé qu’elle soit là en ce moment pour la sodomiser, sans préliminaires. Après tout ce qu’il avait vu et le stress enduré ces dernières heures, il avait très envie de s’envoyer en l’air. — Quelque chose ne va pas, Monsieur ?— Non Audrey. Avez-vous sommeil ?— Euh… non.— Aimez-vous vivre à plein ?— Euh… oui. Il actionna la vitre séparant les deux sections de l’automobile. — Frank, renvoyez le cortège à l’hôtel. Nous serons absents sans permission pour les prochaines heures.— Bien, Monsieur.— Prenez à droite. Le cortège continua, sirène hurlante en direction de son hôtel, mais la voiture dans laquelle ils avaient pris place tourna silencieusement dans une petite rue de banlieue. — Le premier motel, Frank.— Monsieur, j’ai très envie de… Mais cela ne serait pas…— Pas quoi ? Je te propose juste de passer un bon moment, Audrey.— J’en ai très envie aussi…— Alors faisons-le ! Elle lui sourit, toute gêne ayant maintenant disparu de son regard. Elle posa sa ...
... main sur sa cuisse, remontant à la limite de l’endroit où elle aurait pu sentir son organe et s’arrêta net. La voiture s’immobilisa finalement sur le parking d’un motel ; le garde du corps sortit, disparaissant vers l’accueil. Audrey ne bougeait pas sa main ; il s’alluma une cigarette, descendit la vitre arrière et il en prit de longues bouffées, songeur. Il sentit le souffle d’Audrey s’approcher de son oreille. — J’ai envie de toi…— Moi aussi. Sa main palpait maintenant complètement son organe et il ferma les yeux de bonheur. Frank monta en voiture et lui tendit une clef. — La 28. Dernière à gauche. Je vous attends ici. Ils descendirent de voiture et prirent la direction de la chambre. _______________ Sara était très en paix avec ce qu’elle avait écrit. Thomas et elle ne se voyant quasiment plus, elle avait craqué pour une soirée torride avec un amant, et elle l’avait regretté. Non pas de l’avoir fait, mais de l’avoir fait sans le dire à Thomas. Elle était tellement excitée et enivrée par l’alcool qu’elle n’y avait même pas pensé. C’était maintenant chose faite. Elle aurait aimé qu’il réponde, ne serait-ce qu’une insulte. Mais rien. Ses émotions étaient troubles. Toutes ces habitudes acquises durant des années de cachotteries avaient-elles repris le dessus ? _______________ — Audrey, tu es sûr que…— Oui. Allez, baise-moi. Demain sera un autre jour. Et c’est précisément ce qu’il fit. Dans cette chambre de motel glauque d’un quartier miteux de Berlin, lui, ministre en visite ...