1. Deutsche Gefahr


    Datte: 18/04/2020, Catégories: fh, hh, hagé, couple, couplus, extracon, extraoffre, cocus, Collègues / Travail hotel, fête, telnet, contrainte, vidéox, facial, Oral pénétratio, hsodo, québec,

    ... officielle, baisait sa chef de cabinet adjointe. Il oublia tout et se concentra exclusivement sur le plaisir qu’il était en train de donner. Cette petite Audrey criait son plaisir alors qu’il la prenait par derrière. Elle ne lui avait pas donné le choix, se positionnant de la sorte après qu’elle lui eût procurée une fellation qui avait failli le faire éjaculer dès les premiers instants. Le BlackBerry de son employée sonna, et malgré les assauts qu’elle subissait, elle tendit le bras pour le saisir, tombant à plat-ventre sur les draps. Thomas se laissa emporter dans la chute, continuant ses coups de boutoir. — Merde, c’est Benoît…— À 23 h 30 ? Réponds. Elle tourna la tête vers lui, l’implorant du regard de cesser la pénétration durant l’appel. Le sourire en coin de Thomas lui fit comprendre qu’il n’en avait nullement l’intention. Elle ferma les yeux et prit l’appel, sa main libre crispée sur le drap. — Audrey.— …— Je suis en ville chez une amie. De retour sous… aaah… peu.— …— Non, rien : je viens de me renverser du café sur la main.— …— Le ministre ? Non, je n’en ai aucune idée. Il m’a dit qu’il en profiterait pour faire une longue marche.— …— Non, Benoît. Continue le travail avec ton équipe. On se voit dans une heure. Elle raccrocha et déposa son appareil. — Vas-y, maintenant. Je suis à toi… Elle mit la tête sur un oreiller et se détendit complètement pendant que son ministre repartait à l’assaut de plus belle. Au bout d’un long moment, alors qu’Audrey criait son orgasme ...
    ... depuis de longues secondes, il se retira et lui aspergea tout le bas du dos, projetant son sperme jusque dans ses cheveux avant de s’effondrer dans le lit, aux côtés de son amante d’un instant. Quelques minutes plus tard, ils étaient de retour à la longue berline. À peine assise, Audrey s’assoupit, blottie contre lui. — À l’hôtel, Frank. Un peu de repos avant les hostilités s’impose… _______________ À son réveil, il se sentit parfaitement reposé. N’ayant dormi que cinq heures, cela le surprit, mais ses vieux réflexes de son passage dans la Marine semblèrent reprendre le dessus. Il se sentait littéralement prêt pour la guerre, et il sourit en se disant que c’était ni plus ni moins ce qui l’attendait pour les prochains jours. La deuxième pensée qui lui vint en tête était de savoir s’il avait commis une erreur avec Audrey hier. Il ne se posait pas souvent ce genre de question, mais il était toujours délicat de s’envoyer en l’air avec la fiche de paie. Lorsqu’elle avait quitté la berline hier à un coin de rue de l’hôtel – question de ne pas éveiller les soupçons – il ne savait pas ce qu’elle avait fait. Sitôt douché et habillé, il sortit de sa suite et vit son équipe de surveillance. Frank s’approcha de lui, lui tendant une tasse de cappuccino. — Bien dormi, Monsieur ?— Très bien. Vous-même ?— Nous ne dormons que très rarement. Sur un clin d’œil, il prit la direction de la grande salle de réunion de son équipe. Ce qu’il y vit, malgré l’heure matinale, le jeta par terre. La salle ...
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