Deutsche Gefahr
Datte: 18/04/2020,
Catégories:
fh,
hh,
hagé,
couple,
couplus,
extracon,
extraoffre,
cocus,
Collègues / Travail
hotel,
fête,
telnet,
contrainte,
vidéox,
facial,
Oral
pénétratio,
hsodo,
québec,
... l’Allemand, qui était maintenant dans l’exposé très technique de sa proposition. Se souvenant de son père pour quiaudi alteram partem était la chose la plus importante, il prit quand même la peine de l’écouter. Après 45 minutes de cette présentation, il se rendit à l’évidence : sans un grand coup, son pays courrait à la ruine. Sa décision était prise. Lorsque Werber se rassit, il fut applaudit par quatre délégations. Thomas fixa longuement le ministre japonais, ce petit être prétentieux qui n’avait même pas daigné le saluer la veille. Il applaudissait avec aplomb et calme, le visage impassible. — Nous voici donc rendus à vos déclarations d’ouverture. Comme le prévoit notre tradition, je céderai donc la parole à notre collègue d’Amérique, le nouveau venu. Monsieur, à vous la parole.— Merci, Herr Werber. Je ne tournerai pas autour du pot : je considère votre proposition comme complètement inacceptable et je ne voterai pas en sa faveur. Désirez-vous changer d’opinion ? L’ensemble des participants et des personnes dans la salle le fixèrent immédiatement avant de reporter leur attention sur Werber, qui resta complètement de marbre. — Eh bien… je ne tournerai donc pas autour du pot. Nous pouvons voter immédiatement si vous le désirez. Ma proposition sera adoptée et vous retournerez chez vous les mains vides.— Soit. Êtes-vous certain de ne pas désirer que l’on poursuive cet entretien en privé ?— J’en suis absolument certain. Je n’ai rien à cacher.— Pourquoi donc ne pas discuter ...
... d’Histoire un peu ? J’aime bien Diodore. Avez-vous le plaisir de connaître certaines de ces citations ? Le visage de l’Allemand devint immédiatement rouge et, l’espace d’un bref instant, il sembla avoir de la difficulté à respirer. Thomas, le regard fixe, continuait de l’observer en silence, serrant instinctivement ses poings sous la table, ne pouvant pas être sûr que l’Allemand ne viendrait pas l’attaquer. — Pourquoi ne pas prendre cette pause, finalement ? Venez dans mon salon privé. Peut-être aurons-nous finalement cette discussion en privé. Il se leva et disparut promptement. Audrey vint alors le voir. — Monsieur, mais que… Il prit la même direction que l’Allemand, ne se retournant même pas sur son passage. Il pénétra dans le salon et Werber claqua la porte derrière lui, restant à quelques pas de lui, fulminant. — Petit salopard ! Vous pensez que…— Non, je ne pense rien. J’analyse simplement l’offre que vous nous faites : vous savez qu’elle n’a du bon que pour vous.— Je vais vous…— Avant de dire quoi que ce soit, observez ceci. Il lui tendit le smartphone, et ce faisant il démarra la vidéo. L’Allemand sut immédiatement ce qu’il verrait sur l’écran et il s’effondra dans un divan, lançant le téléphone dans le feu. — Ah, ce bon vieux Diodore… « Les Celtes, bien qu’ils aient les femmes très belles, apprécient de jeunes garçons davantage, de sorte que certains d’entre eux ont souvent deux amoureux à dormir avec eux dans leur lit en peau de bête. »— Vous pensez que vous pouvez ...