Deutsche Gefahr
Datte: 18/04/2020,
Catégories:
fh,
hh,
hagé,
couple,
couplus,
extracon,
extraoffre,
cocus,
Collègues / Travail
hotel,
fête,
telnet,
contrainte,
vidéox,
facial,
Oral
pénétratio,
hsodo,
québec,
... venir ici et me menacer…— Non, c’est vous qui faites les menaces ! Et je vais vous dire exactement ce qui va se produire : vous retirerez votre proposition et nous resterons avec l’entente actuelle. Sinon, à la une de tous les journaux de votre pays, demain se trouvera une photo de vous en train de sodomiser ce petit Japonais.— Mein Gott…— Et pour votre information, si jamais vous faites mine de refaire chanter mes amis français et anglais, il se produira exactement la même chose. Vous venez peut-être de brûler mon téléphone, mais ne croyez pas que toutes les preuves ont disparu avec votre petit geste impulsif de merde. Alors que l’Allemand reprenait ses esprits dans le grand fauteuil, il s’alluma une cigarette, de laquelle il prit une grande bouffée. — Peut-être pouvons-nous trouver une entente qui vous plairait davantage…— Werber, je ne fais confiance qu’une seule fois. Vous avez perdu deux guerres. Considérez que je viens de vous faire une faveur en vous faisant perdre la troisième avant même qu’elle ne soit commencée. Après tout, dans les petits foyers conservateurs de l’arrière-campagne de votre pays, des images de vous vous livrant aux plaisirs entres hommes auraient un impact désagréable sur votre carrière et votre réputation, non ? Il écrasa sa cigarette sur le sol du bout du pied et prit la direction de la sortie. Sans se retourner, il assena le coup final : — Dans une heure, cette réunion reprendra. Et vous direz à tous que, suite à une longue discussion avec moi, ...
... j’ai réussi à vous convaincre du bien-fondé de l’entente actuelle, et que dans l’intérêt de tous vous retirez votre proposition. Il claqua la porte en sortant. _______________ Sa délégation, très surprise de le voir revenir aussi rapidement, voulut lui poser plusieurs questions mais il les esquiva pour aller rejoindre ses homologues français et anglais sur la terrasse, à l’écart de tous. Bill posa la première question : — Eh bien, mon cher ami, vous ne faites pas les choses à moitié.— C’est le moins que l’on puisse dire. Vous nous avez tous pris par surprise. Devons-nous craindre quoi que ce soit ?— Non. Cette situation vient de tourner à notre avantage. Je ne crois pas qu’il vous reparlera de tout cela. Nous pourrons retourner chez nous en victorieux.— Considérez donc que vous serez toujours le bienvenu en Angleterre. Je vous dois beaucoup.— Et moi de même. Si jamais la vue de la tour Eiffel vous manquait, j’ai un charmant appartement… Audrey apparut. — Monsieur, le ministre allemand vient de reconvoquer la réunion. _______________ Werber avait le teint pâle et s’efforçait de sourire. Il remarqua que la délégation japonaise était déjà partie, un problème important venant sûrement de faire surface sur cette île lointaine. Il sourit intérieurement. Pas qu’il appréciait particulièrement le fait de mettre ses adversaires dans ce genre de position, mais après tout, ce n’est pas lui qui avait lancé les hostilités. — Après discussions avec mon homologue Herr Brown, je vous annonce ...