Le phénix à deux têtes
Datte: 19/04/2020,
Catégories:
fh,
jeunes,
couple,
extracon,
amour,
intermast,
Oral
pénétratio,
fdanus,
jeu,
champagne,
init,
mélo,
... artifice. Enfin, doucement, avec des légers coups de reins, elle me fait imprimer un va-et-vient délicieux, ouvre les yeux et m’adresse un baiser du bout des lèvres. Puis d’une main sur ma poitrine elle m’arrête : — Attends, ça va trop vite… murmure-t-elle, on va s’amuser, tu veux ? Elle délie ses jambes et m’attire plus haut sur elle, se calant mi-assise sur un oreiller. — Dans ma bouche, viens, fais-moi l’amour dans la bouche… chuchote-t-elle. Jouant d’abord de la langue sur mon gland elle m’engloutit tout en prenant à pleines mains mes boules. Je crois défaillir. C’est trop bon ! En plus elle m’enveloppe de ses cheveux, les enroule. Gourmande, dans un déluge de salive, sa bouche me suce comme pour m’extraire toute la sève. Sentant qu’à ce rythme je vais me lâcher, je me retire et plonge entre ses cuisses. Elle sursaute, gémit, m’attrape par les cheveux et ses cuisses se referment sur ma tête. — Oh oui, comme ça, c’est bon… éructe-t-elle. Je découvre un minou rasé, délicatement ourlé, baignant dans son jus. Ma langue, mes lèvres le fouillent, agaçant le clito, s’aventurant à l’entrée de sa grotte secrète. Elle ruisselle. J’ai le visage barbouillé. Un délice de lui procurer ce plaisir alors qu’elle se tord et gémit ! Des petits spasmes m’indiquent que sa jouissance naît, quelque part, dans son ventre. — Non ! crie-t-elle en me repoussant. Essoufflée, cuisses ouvertes et dégoulinantes, elle me fait signe de venir à côté d’elle et, d’un doigt, m’essuie la bouche. — Tu es dans ...
... un état ! Bon, on fait durer, hein ? murmure-t-elle. Tu vas tenir ?— Peut-être, dis-je en riant, peut-être. Pause tendresse. Retarder l’instant où je me déverserai en elle, où j’espère qu’elle criera de plaisir. Collés l’un à l’autre, sur le flanc, bouche contre bouche, nous nous regardons. Je dégrafe son soutif, et enfin je peux voir ses seins, les palper, les caresser à nu. Elle rit. — Ils sont à toi mon bébé, tête, tête-les ! chuchote-t-elle en m’attirant. Un bonheur que ces deux pommes bien fermes et pleines, que ces tétons hérissés qui réagissent sous la langue. — Arrête, arrête ! gémit-elle. Arrête je vais jouir ! Je reprends ma position alors qu’elle s’inquiète d’une main de l’état de ma virilité : — Oh, parti, tout mou le monsieur… mais t’en fais pas je vais y remédier ! Nous sommes bien, complices, en attendant la deuxième mi-temps. Pas besoin de parler, nos yeux, nos doigts, nos lèvres, nos souffles y suffisent. Combien de temps restons-nous ainsi ? Peu importe. Une communion totale, cosmique, nous baignons dans une autre dimension, goûtant jusqu’à plus soif ce moment qui sera peut-être unique, sans lendemain. Enfin, après avoir plissé ses yeux coquins, elle se glisse contre moi, plus bas, afin de me réveiller. Elle m’embouche, petit à petit… mais rapidement, comme elle use de sa langue et ses mains, je redeviens présentable. Me faisant mettre sur le dos, elle m’enjambe et se couche sur moi, mon sexe venant buter sur son abricot. — Tu vas voir… souffle-t-elle en se ...