1. Le phénix à deux têtes


    Datte: 19/04/2020, Catégories: fh, jeunes, couple, extracon, amour, intermast, Oral pénétratio, fdanus, jeu, champagne, init, mélo,

    ... redressant. Et se guidant, elle s’empale lentement, buste dressé, se tenant les seins à pleines mains. Elle crie et ne bouge plus, mon sexe pris fermement dans un étau de soie. Puis, doucement, elle monte et descend sur mon pieu, à son propre rythme, en jouant d’ondulations de ses reins, recherchant un maximum de plaisir. C’est divin ! La voir ainsi, tout en se caressant la poitrine, est hyper excitant. Bientôt je sens son intérieur se contracter, ses gémissement s’amplifier jusqu’à devenir des râles, et enfin elle laisse éclater sa jouissance dans un feulement de bête, tête renversée en arrière, ses mains crispées à mes hanches. Pour un peu nous jouissions ensemble, car c’est à mon tour de me libérer alors qu’elle m’accompagne à grands coups de fesses jusqu’au dernier jet en rugissant des « Allez, allez, viens, viens ! ». Avec un grand soupir elle s’effondre sur moi, secouée encore par des spasmes, me griffant, me mordant. — Ah ! Jamais, tu m’entends, jamais, je n’ai eu autant de plaisir ! halète-t-elle en me martelant la poitrine de ses poings.— Moi aussi ! dis-je en essayant de maîtriser ma respiration. Tu te rends compte ! Avoir attendu aussi longtemps ! Tu es merveilleuse.— Je savais, je savais ! reprend-elle joyeuse. Je savais que toi et moi… Ah, c’est formidable, s’entendre comme ça ! Ah ! comme je t’aime ! Calmes maintenant, apaisés, nous respirons à l’unisson. Son corps est encore palpitant, couché sur moi. Mon visage moitié couvert de ses cheveux, je la parcours ...
    ... d’un doigt, suivant toutes ses courbes, explorant les recoins, m’attardant entre ses fesses. Elle ronronne, gémit au rythme de mon voyage et ses ongles me griffent légèrement ici et là. Sans doute, noyés dans notre béatitude, nous nous assoupissons, lovés l’un contre l’autre. Un frisson me parcourt, j’ai froid. Ludi n’est plus à mes côtés. Je la cherche d’une main mais en ouvrant les yeux, je la vois assise au pied du lit, nue avec seulement ses bas, à me regarder. Je l’admire dans cette pénombre en réalisant que dehors le soleil se couche. Il se fait tard. Seuls ses cheveux, ses seins, ses tétons, ses épaules accrochent le peu de lumière, ce qui la rend irréelle. Jamais je ne l’ai vue debout, sans artifice, à évoluer sous mes yeux. Comme si elle avait compris, lestement elle se lève et en riant prend des poses suggestives dignes d’un magazine de charme, usant et abusant de ses longs cheveux pour s’en couvrir. — Pour te réveiller complètement ! Je te plais ? Je suis baisable ?— Pas mal, pas mal ! Tu es bien foutue quand même ! dis-je très attentif.— Quand même ? Merci ! Mieux que ta femme ? Tu as vu mes fesses ? Tu aimes ? Et elle se tourne, se cambre et m’offre sous le nez son superbe fessier rebondi à souhait, ferme, aux courbes parfaites soulignant le sillon central et profond d’où émerge son abricot délicatement renflé et ourlé. — Une merveille, ce cul… murmuré-je en l’attirant pour y déposer un baiser.— Désolée… mais plus vierge non plus ! rigole-t-elle. Tu arrives trop ...
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