Le phénix à deux têtes - Histoires de Sexe

Le phénix à deux têtes

... tard !— Hein ! Non ? Là aussi ! me lamenté-je. Décidément !— Et oui ! Et j’aime bien, de temps en temps ! En travers du lit elle vient s’étendre, la tête sur mes cuisses. — Dis-moi, avec ta femme, tu fais de ce côté ? Tu lui prends son petit trou ? Elle aime ?— Tu es bien curieuse !— Allez, raconte ! Elle suce bien aussi ? Je veux savoir ! insiste-t-elle en me couvrant de petits baisers mouillés entre les cuisses.— Tu es jalouse… éludé-je en lui caressant les cheveux.— Oui, terriblement. Si on ne doit pas se revoir, que je sache au moins si je suis mieux qu’elle. C’est important. Tu comprends ?— Pour une première fois… disons que c’est passable ! Du genre « bien, mais peut mieux faire ». Tu vois ? répliqué-je en soupirant, décidé à la provoquer.— Salaud ! Non, sois sérieux. Alors ? dit-elle en me mordant.— Je serais difficile. Tu es parfaite, avec un tempérament de feu ! Quant à Maud, elle est bien au lit, très bien même…— Ah la vache ! Et tu me dis ça tranquillement ! T’es un goujat !— Non tu es mieux… voilà. Plus expressive, plus coquine. Et puis c’est toi… Mais c’est vrai qu’on n’aura pas le temps de tout expérimenter ! Tu aimes tout, toi ? Elle soupire et les baisers qu’elle m’applique remontent délicieusement vers mon entrejambe, où insidieusement ma virilité se réveille. — J’aime presque tout… poursuit-elle, mais avec toi ça serait encore plus fort. Je me lâcherais total ! Une cochonne intégrale !— Par exemple ? Tu m’excites là…— Des fantasmes, des jeux coquins, de la ...

... domination… Ah ! si tu savais ! murmure-t-elle en frissonnant. À présent, la bouche tout près de mon sexe, elle s’amuse à souffler dessus et à le caresser avec ses cheveux. Puis à coups rapides du bout de sa langue, elle encourage sa renaissance. C’est délicieux, d’une douceur extrême. — J’ai une revanche à prendre sur lui… Il y a longtemps, il s’était permis des choses avec moi, tu te souviens ?— Non… fais-je hypocrite.— Menteur ! Mais cette fois je vais lui montrer qui est le patron… Mouillant ses lèvres, d’un coup, elle me gobe dans un bruit de succion, ses deux mains s’agrippant l’une à mon membre l’autre à mes boules. Cambré par le plaisir je pousse plus loin ; elle en hoquette, mais elle me maintient fermement. — Ludi ! gémis-je en lui attrapant la tête. Le membre englouti totalement, elle joue d’abord à « gorge profonde » dans des bruits mouillés qui me surexcitent. Jamais je ne l’aurais imaginée aussi vorace et experte… Maud, qui pourtant adore cette pratique, est largement battue. Je cherche d’une main à la caresser et, dans cette position, mes doigts trouvent naturellement sa petite fleur cachée entre ses fesses. Elle sursaute, grogne, et des ondulations de sa croupe m’invitent à poursuivre. Doucement, voulant faire durer le plaisir, elle me pompe, pendant qu’à l’aide de ma salive et de sa cyprine un doigt prépare son tréfonds. Quand celui-ci accepte enfin une phalange, elle me lâche une seconde, essoufflée. — T’es un cochon… Continue, c’est génial ! Dis-moi que je ...