1. Panpan cucul (5)


    Datte: 19/04/2020, Catégories: Inceste / Tabou

    Ma mère prend le temps nécessaire pour se remettre, elle cicatrise. Pour un temps j’ai mis en berne ma sexualité, je le lui ai dit, elle est bien entendu contre. Elle veut que je vive pleinement, que je la considère comme un accessoire récréatif pour qu’elle se sente humiliée, en concurrence et qu’alors sa libido s’affole pour chaque jour me conquérir. Je ne sors plus, j’ai coupé tout contacts avec mes conquêtes. Je me branle et pour le moment cela me suffit. Je veux rester fidèle à Maman, même si je doute fortement que les choses entre nous évolueront. J’entends un bip sur mon PC, je viens de recevoir un message. Gladys m’écrit et après ces quinze jours de disette libidineuse c’est une agréable surprise. J’ai continué à lui envoyer des mails où je me confiais, je ne voulais pas couper les ponts, surtout après tout ce qu’elle a fait pour moi. Elle a œuvré en coulisse pour que je me fasse à l’idée et si aujourd’hui je peux dominer et punir Maman, c’est bien grâce à elle. Je n’ai eu aucune nouvelle d’elle depuis deux semaines, elle a dû lire et relire mon premier mail, regarder la vidéo en pièce jointe, puis elle a reçu tous ces courriels de moi et qui jusque là étaient restés sans réponse de sa part. Je tremble un peu, j’ai peur de l’ouvrir et d’y découvrir qu’elle me demande de cesser définitivement notre correspondance. J’ai besoin de soutien, j’avoue que mon jeûne sexuel me pèse. Quelques mots gentils de sa part me feraient le plus grand bien, alors je commence à lire son ...
    ... courrier avec une certaine émotion. « Je devine ton trouble, je comprends tes doutes, mais tu es allé bien trop loin pour faire machine arrière. Je sais qu’il te faudra du temps et beaucoup de confiance en toi pour franchir ce cap... Ce destin n’est pas seulement le tien, mais il est aussi celui de ta maman, n’oublies jamais cela. Renoncer vous fera tout deux souffrir. Je serais toujours là pour toi, tu le sais bien et je t’aiderai. Viens me rejoindre, je t’attendrais, coiffée, maquillée et parfumée comme elle et tu pourras fourbir tes armes en attendant terre plus accueillante... Gladys ». Je tremble, ses lignes m’ont bouleversées, sa proposition est alléchante, très tentante, mais j’hésite encore. J’ai peur d’avancer, même en y allant par étape. Je suis resté trois longues journées à m’interroger et puis j’ai envoyé ce seul mot: D’accord. Gladys m’a demandé de me préparer pour le lendemain, elle m’enverrait l’heure et le lieu au dernier moment. Je suis prêt, j’ai tourné en rond avec des crampes au ventre. Je suis angoissé, je sais que ce que je vais faire va être décisif, après cela je ne pourrais plus longtemps reculer. Les heures passent, le jour tombe, je commence à me dire que dorénavant c’est elle qui ne veut plus et c’est là que j’ai entendu frapper. J’ai ouvert, il n’y avait personne, juste un petit mot posé sur le paillasson... « Entre... », il n’y avait rien d’autre d’écrit. J’ai regardé sur le palier et la porte de l’appartement d’en face était entrouverte, alors ...
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