1. Panpan cucul (5)


    Datte: 19/04/2020, Catégories: Inceste / Tabou

    ... manche, peu à peu ma bite se graisse de sa salive et c’est si bon. Elle me pourlèche avec douceur, mais même si elle ne montre rien je la sens impatiente. Elle veut m’avaler pour que je la souille jusqu’au fond de la gorge. Je me crispe, son léchage méticuleux m’exaspère, j’ai envie de venir, mais elle sait y faire et me contrôle. À présent elle s’affaire sur mon frein, elle prend tout son temps avant de s’attaquer au plat de résistance, moi j’ai emmêlé mes doigts dans sa chevelure, j’essaye désespérément de la guider mais c’est bien elle qui mène la danse. Elle est exaspérée, je le devine, elle aussi n’en peut plus d’attendre son régal et sa bouche se referme enfin autour de mon gland. C’est là que ce petit murmure est sorti bien malgré moi... « - Maman... ». Elle n’attendait que cela, elle a dû tellement espérer entendre ce nom, ses commissures ce sont serties sur ma queue et elle me suçote de la plus espiègle des manières. Ses doigts agiles malaxent mes testicules, parfois le bout de son index glisse dans ma raie et vient effleurer mon œillet. Je suis en feu et je ne vais plus tenir longtemps. Je baisse la tête, je l’observe, je cherche des détails, des dissemblances et je n’en trouve pas, la similitude est à s’y tromper. Gladys avait raison, c’est exactement ce qu’il me fallait, avec elle qui s’applique, je vais prochainement pouvoir envisager d’aller jusqu’au bout avec ma propre mère. Elle m’avale tout entier, ma verge disparaît totalement dans les tréfonds de sa ...
    ... goule. Son palais est gluant et si chaud. Le plaisir monte inexorablement, elle me suce comme jamais je ne l’ai été et c’est si encourageant pour la suite des réjouissances. J’ai hâte de la prendre pour enfin savoir comment baiser Maman. Je n’en peux plus, je me crispe, j’ai serré sa tignasse avec sauvagerie et j’ai joui. La semence à fusé, le jet puissant a maculé sa langue, sa glotte et emplit tout son palais. Je n’en fini plus d’éjaculer, je me vide en elle et elle n’arrête pas de déglutir. C’est hallucinant, déroutant, les apparences sont si trompeuses que c’est exactement comme si je venais d’ensemencer la bouche de ma propre mère. Le foutre gras dévale son œsophage, elle s’emplit le ventre et je me rend compte qu’avec ce scénario ambigu, j’ai été particulièrement généreux. Mon zob ramollit et elle me nettoie, me décrasse pour que sois bien propre. Elle lape chaque souillure, chaque gouttelette de mon sperme gras, elle se régale et plus je la fixe et plus c’est Maman que je vois se goinfrer. Je suis tout mou, je ne m’inquiète pas, je vais rebander bien vite, je le sais. Mon zizi est bien propre, immaculé, singulièrement pur, alors que je m’apprête à le souiller de la plus perverse des manières. Je vais la baiser, je ne pense plus qu’à cela et alors faire de Gladys la plus parfaite des doublures maternelles. Elle se relève, elle attrape mon poignet et m’entraîne jusqu’à la table. Elle pose ses paumes sur le plateau, elle écarte les jambes et fléchit l’échine. Elle me présente ...
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