Christine VI : Midlife Crisis (15)
Datte: 20/04/2020,
Catégories:
Hétéro
La semaine suivante est celle de mon anniversaire. Il a lieu le jeudi 23 mai et cette journée restera comme l’une des plus marquantes de ma vie. Elle commence par une surprise et un sourire : au réveil, à 6h, Christine accompagne son "Bon anniversaire" d’un smack aussi inattendu que soudain. Je reste hébété et bafouille mon remerciement. Ensuite, et contrairement à ce qu’elle fait d’habitude, mon épouse se prépare avant d’aller prendre son petit-déjeuner. Après sa douche, elle revient dans la chambre pour se mettre de la crème. Je suis encore dans le lit et pour la première fois depuis des mois, je la vois nue. Elle se tourne. Je bande sous la couette. Christine passe ensuite un string minuscule, un porte-jarretelles et des bas résilles. Je ne peux être plus heureux que ce matin. Elle le sait, j’en suis persuadé. Elle met une robe que j’adore et qui se boutonne entièrement sur le devant. Elle quitte ensuite la chambre, comme si de rien n’était. Après ma douche, je rejoins la famille à la cuisine avant de partir au travail, le sourire aux lèvres. A 7h30, à peine ai-je me le pied dans mon bureau que Mélissa déboule et vient me rouler une formidable pelle. Je bande, elle me suce, je la baise très vite sur le bureau et constate qu’elle a mis, elle-aussi, un porte-jarretelles. A 7h45, je peux allumer mon ordinateur et commencer à travailler. Plusieurs collègues passent me souhaiter un joyeux anniversaire durant la matinée, dont Barbara qui me dit qu’elle a une surprise pour ...
... moi à midi. Chez elle. Mais pour l’heure, c’est une message de Mélissa qui revient mon attention : "10h10, archives . ne me fais pas attendre". Oh que non ! Quand j’arrive, Mel m’attend, le string à la main. Nouvelle fellation et nouveau rapport expresse. Je lui dis qu’elle va bientôt mériter son surnom de "Miss Quicky". — J’adore les quickies, je trouve ça tellement excitant. — Mieux vaut quatre rapports de cinq minutes plutôt qu’un seul de vingt. — Ah mais c’est sûr, ça !! Nous retournons travailler et à midi, comme prévu, je me rends chez Barbara, malgré une surenchère de dernière minutes de Mélissa qui me promettait "d’être une vraie pute". Barbara, qui est partie un peu plus tôt, m’ouvre dans un peignoir de soie ambré et elle m’emmène directement à l’étage, dans la chambre. Je m’assieds sur le lit et Barbara dénoue lentement le peignoir. Sur la peau hâlée, une guêpière blanche en dentelles, un string minuscule et des bas blancs opaques. La belle laisse tomber le peignoir et vient à califourchon sur mes cuisses : — Je veux le faire comme la dernière fois… Barbara se lâcherait-elle ? En tout cas, après une courte fellation, elle s’offre littéralement à moi et j’en profite. Crescendo. Elle sait qu’elle peut dire non à tout moment, mais au contraire, Barbara semble vraiment apprécier que je la baise. En levrette, mon index dans le cul la surprend mais elle le prend tout de même en entier. Dans la même position, je lui donne deux belles fessées. Ensuite, me retirant vivement ...