1. Christine VI : Midlife Crisis (15)


    Datte: 20/04/2020, Catégories: Hétéro

    ... d’elle, je prends sa tête et l’amène sans ménagement à mon sexe : — Suce ma grosse bite, ma belle ! Barbara obéit sans broncher. Enfin, dans une dernière position pour le moins osée (Barbara est couchée sur le côté, une jambe sur mon épaule tandis que je suis agenouillé entre ses jambes), je vais-et-viens lentement en elle et lui dit : — J’adore te faire l’amour comme ça. — Je crois que je suis en train d’y prendre goût moi-aussi. — Regarde-toi dans cette position… — Jamais été aussi ouverte devant un homme… sauf devant mon gynéco ! Nous rions. Je me retire. Sans que je le demande, Barbara garde ses jambes ouvertes. Elle roule sur le dos et ramène ses genoux à hauteur de ses oreilles. Elle est plus souple que je le pensais et ce qu’elle m’offre vaut tout l’or du monde. Je me penche, lèche mon minou, elle frissonne. Je descends à son anus et le titille quelques instants. Puis je la pénètre à nouveau. Doucement puis un peu plus vite, et petit à petit, je bombarde la chatte et jouis tandis que Barbara, relâchant soudainement ses jambes, est parcourue, elle aussi, d’un intense orgasme. Elle rit ensuite : — C’était peut-être ton anniversaire, mais ça a été ma fête aussi. Nous pique-niquons ensuite à la cuisine (fromages, charcuteries, pain) puis retournons au travail. luqlmmbh Je m’assieds à ma place et déverrouille mon ordinateur. J’ai un invitation pour une réunion provenant de Fabienne. Surpris, je regarde les détails : aujourd’hui même, à 18h, dans son bureau, "apéro ...
    ... anniversaire". Je souris. Je dois cependant aller chercher ma fille à son cours de tennis à cette heure-là. Plutôt que de lui répondre, je monte à l’étage, dans son bureau. Sa porte est toujours ouverte, sauf lorsqu’elle est en séance. Je toque sur l’encadrement de la porte. Grand sourire de sa part : — Entre seulement, Florent ! Puis : — Et ferme la porte, s’il te plait. Elle se lève. Jupe mi-longue plissée en cuir kaki, chemisier noir discret. J’apprécie énormément et elle le remarque. Elle me fait la bise puis m’embrasse sur la bouche : — J’étais sûre que le cuir te plaisait. Je souris et après quelques banalités, j’en viens à l’objet de ma visite : — Je ne vais pas pouvoir rester ce soir. Je dois aller chercher ma fille. — Oh ! Quel dommage. Tu ne peux pas t’arranger ? — Difficilement… Fabienne regarde la porte, elle semble hésiter. Elle se tourne, de manière à être dos à l’entrée et elle dit : — C’est très dommage, car ce matin, j’avais pensé à toi en m’habillant. Elle déboutonne son chemisier sur un élégant soutien-gorge demi-sein. Soulevant ensuite sa jupe, elle dévoile un string ouvert des plus torrides. Elle lâche la jupe et je pose la main sur son sein gauche et caresse. Elle me regarde, provocante et stressée : — Mon assistante doit m’apporter un dossier d’un instant à l’autre… Elle se reboutonne. — Ce soir, 18h. Essaye au moins. Je dois être chez moi pour 20h. Un dernier baiser et je m’en vais. En arrivant à mon bureau, je réfléchis : je peux aller à 18h, la baiser très ...