L'épouse du sous-directeur
Datte: 20/04/2020,
Catégories:
fh,
fplusag,
Collègues / Travail
... pantalon d’été, me regardant étrangement je la vois sourire : — C’est moi qui vous mets dans cet état ? Moi, jeune adulte, pris en flagrant délit d’érection par une belle femme la quarantaine passée, qui plus est, épouse de mon sous-directeur, je ne sais que répondre, je reste figé face à elle comme un pot de fleur, son regard lubrique m’excite encore un peu plus, je suis de plus en plus à l’étroit. Elle fait un pas vers moi, elle tend la main vers mon bas-ventre, saisit mon sexe à travers mon pantalon. Je suis comme électrisé ! Je me laisse faire ? Je recule et m’enfuis ? Je réponds à son attente ? C’est quand même l’épouse du directeur adjoint, que dois-je faire ? — T’inquiète, nous ne sommes que tous les deux, si tu ne dis rien, personne ne saura ce qui se passe ici ! Ses yeux bleus, brillants de concupiscence, droit dans les miens, elle défait ma ceinture, ouvre mon pantalon, libérant mon sexe qui jaillit. — Hum ! T’es pas mal monté ! D’une main, elle palpe ma colonne dressée, pendant que de l’autre elle défait les boutons de ma chemisette que je laisse glisser au sol, tout comme le pantalon et le slip que je retire ainsi que mes sandalettes. Me voilà nu comme un vers face à l’épouse du sous-directeur ! Il est trop tard pour revenir en arrière, les dés sont jetés ! Je pose les mains sur ses hanches et tout en caressant son corps de braise, posément je lui retire son tee-shirt, dévoilant un soutien-gorge blanc à balconnets bien remplis. D’une main leste, je défais les ...
... agrafes dans son dos, libérant ses deux nichons aux tétons arrogants, et je peux vous affirmer que le soutien-gorge ce n’est que du confort. J’avance la bouche vers ses nichons en poire, je les embrasse alternativement, titille du bout de la langue les tétons rose, flatte d’une main douce le galbe de chaque sein. Sans dire mot, elle s’accroupit et embouche mon sexe tendu, lippe longuement le gland décalotté, titille chaque parcelle de ma colonne, soupèse mes bourses, essaie d’avaler ma colonne mais manque de s’étouffer. Les mains dans sa chevelure brune bouclée, je subis le doux supplice de sa bouche sur mon sexe … Elle se redresse et me tenant par le sexe, m’entraîne par les couloirs vers ce qui semble être la chambre conjugale, en un tour de main sa jupe choit au sol et la voilà, allongée en travers du lit, cuisses ouvertes le sexe voilé par sa culotte blanche où des traces humides apparaissent. Oubliant toute retenue, je grimpe sur le lit entre ses cuisses ouvertes, flatte ses jambes en remontant vers ses cuisses, caresses le dôme de son sexe à travers la dentelle de sa culotte, sa respiration s’accélère. Mes mains courent le long de ses hanches pour aller caresser ses nichons avant de redescendre vers son bas-ventre et s’insinuer sous la dentelle blanche de la culotte. Du bout des doigts, attentif à la moindre de ses réactions, je caresse ses lèvres gourmandes, en force la barrière et infiltre un doigt curieux sur la margelle de son puits d’amour, je saisis la culotte et ...