L'épouse du sous-directeur
Datte: 20/04/2020,
Catégories:
fh,
fplusag,
Collègues / Travail
... posément la fais glisser le long de ses jambes fines et musclées, découvrant une toison finement taillée en ticket de métro. J’approche ma bouche de ce trésor enfin dévoilé à mon regard, la pose sur ses lèvres charnelles déjà bien humides, les embrasse délicatement. Comme une huître s’ouvre sur une perle, ses lèvres s’ouvrent sur son bijou que je titille du bout de la langue me délectant du doux élixir qui imprègne son fruit. Mes mains glissent le long de son ventre pour flatter ses nichons et exciter ses tétons érigés. Elle se cambre pour mieux s’ouvrir à mes caresses pendant que d’une main elle écrase mon visage entre ses cuisses. J’insinue ma langue tendue dans son sexe humide, titille son bouton qui n’attendait que ça, j’introduis deux doigts dans son sexe et commence à la fouiller délicatement. Sa respiration s’accélère, son corps se tend, elle hurle : ‘’Oui, plus vite !’’ Ce que femme veut, Dieu le veut ! J’accélère le mouvement de mes doigts dans son sexe de plus en plus humide, quand soudain, sa bouche émet un ‘’Oui, c’est bon !’’ très bref, je sens une sourde ondée prête à jaillir, encore deux ou trois allées et venues, retire mes doigts et pose ma bouche sur son sexe au moment où une vague jaillie de ses entrailles dont je me ...
... délecte abondamment avant qu’elle ne parte dans un fou rire incontrôlable. — Oh, Joël que c’est bon ! Il y a un bon moment que je n’avais pas joui comme ça ! Mais toi, tu es encore tout excité ! Disant cela, elle embouche mon sexe et met toute sa science à une fellation d’anthologie à laquelle, après l’exercice précédent, je ne résiste pas bien longtemps. Tout y passe, la langue sur le gland, les papilles sur la colonne, les pincements des bourses, j’en peux plus de résister. Le plaisir, monte en moi, je suis prêt à gicler, pas besoin de le lui dire, elle l’a senti venir et guide le jet sur sa poitrine, première salve entre les deux seins, les autres sur divers points de sa poitrine. La vague passée, elle lape les dernières gouttes sur mon gland, se redresse et m’entraîne vers la salle d’eau. Je prends une douche réparatrice en premier, nous échangeons un baiser fougueux au moment où je lui laisse la place avant de me sécher. Nos douches respectives finies, nous devisons sur le but premier de ma visite, l’installation téléphonique. Je l’informe que je reviendrai effectuer les travaux jeudi après-midi, elle essaiera d’être seule mais sa fille aînée risque fort d’être présente. Intérieurement, je me sens rassuré, nous seront plus sages.