1. Ondine


    Datte: 27/09/2017, Catégories: Première fois

    ... propre aux débutants dans le grand pbain de la vie. Nos baisers durèrent longtemps avant que nous passions à des choses plus physiques. En tout cas, dans ma mémoire, je le crois. Mais j'étais à la fois impatient et très embarrassé de faire le premier pas, ma notion du temps et le quart de siècle qui nous séparent de cette date des faits peuvent troubler mon jugement. C'est elle qui a donné le signal du début des hostilités en m'otant chemise et T Shirt pour caresser mon torse, alors mince et glabre. Elle a alors collé sa bouche contre ma poitrine et j'ai senti comme une ventouse autour d'un de mes tétons. La demoiselle s'accordait sur celui-ci des audaces que jamais elle ne s'était permise sur ma bouche. Elle aspirait à perdre haleine, puis reprenait son souffle en donnant des coups de langue mutins avant de me croquer délicatement. En un instant, je tombais sur le dos, abandonné à cette caresse buccale, incapable de quoi que ce soit d'autre que de caresser ses cheveux. Profitant de l'instant de répit qu'elle m'accorda en jetant son dévolu sur mon coté gauche, j'en profitais pour entreprendre de lui ôter ses vêtements. Je me souviens que ce fut pas chose aisée. Si sa chemise à carreaux, très kurt-cobainienne, ne me résista pas longtemps ; comme tous les adolescents malhabiles, l'agrafe de son soutien-gorge me causa bien des soucis. Elle a du m'assister pour que j'en vienne enfin à bout. Immédiatement nos deux poitrines se sont alors collées en même que nos lèvres, de nouveau ...
    ... réunies dans un baiser fougueux. Nous avons alors roulé sur le lit quelque temps, nos bas-ventre irrigués de désir collés l'un à l'autre. Puis une fois nos pantalons otés, nous nous sommes glissés sous les draps, la pudeur maladive qui caractérisait les deux adolescents que nous étions subsistant encore, malgré tout.J'ai, alors, enfin, découvert un corps de femme et m'y suis consacré du mieux que je pouvais. Sa poitrine, petite, aux seins encore tombants parce qu'ils n'avaient pas fini de pousser fut néanmoins un délicieux terrain de jeu buccal. Le long baiser passionné à ce nombril qui tronait au milieu de ce joli ventre rebondi. Le frisson qui parcourut mon échine quand, glissant ma main dans sa culotte, sa pilosité chatouilla mes doigts. Ses mots qui m'encouragaient tendrement tandis qu'elle caressait mon sexe en érection depuis tant de temps. Je me souviens de tout. De cette sensation inouïe d'aspiration au moment de la pénétrer. De la chaleur et de la douceur de ce sexe offert. Des éclairs dans nos yeux rivés les uns dans les autres à cet instant précis. Du long baiser passionné qui accompagna les premiers va et vient, d'abord lents. De l'instant où nos ardeurs augmentant, nous cessames de nous embrasser pour haleter à l'unisson. De son orgasme, à elle, totalement silencieux. J'ignore en revanche comment ses contractions pelviques ne m'ont pas fait jouir dans l'instant et par quel miracle j'ai réussi à m'extraire de son sexe, me débarasser du préservatif et à jouir sur ...