La Muse (16)
Datte: 27/09/2017,
Catégories:
Hétéro
Caro, Cécile, Bruno et moi étions arrivés largement en avance. Cécile expliqua au patron de ce lieu libertin qu’on faisait une surprise au fiancé de Caro et, si dans la mesure du possible il pouvait nous laisser une cabine de sauna pendant une heure, ce serait formidable. Il accepta même d’orienter Rémi directement vers nous. Pour éviter d’éveiller tout soupçon, nous trois, les filles, avions revêtu un paréo identique, un foulard et un loup pour cacher les yeux, prêtés par la direction. Bruno eut droit à une serviette de toilette enroulée autour de la taille. Anxieuses, Caro et moi surveillions l’arrivée de notre proie. — Le voilà ! Cécile et Bruno, assis sur un banc de bois ajouré adossé à la paroi, commencèrent à s’embrasser. Caro alla accueillir Rémi et moi, cachée derrière la porte pour qu’il ne me voie pas. Caro l’embrassa, et au premier mot qu’il tenta de prononcer, elle lui mit le doigt sur les lèvres accompagné d’un « Chuuut… » Rémi, les yeux rivés sur le couple, se laissa pousser par Caro vers le banc d’en face, où je pris le relais de Caro qui sortit discrètement. Nous nous sommes installés sur le banc, et j’ai commencé à caresser Rémi avec une fausse tendresse ; je lui faisais ce qu’il aimait et que Caro lui faisait aussi. En face de moi, je pouvais distinguer le regard amusé du couple. La porte s’ouvrit. Une jeune femme entra, fit un signe de la main et se dirigea vers le couple. Les deux jeunes femmes s’embrassèrent tendrement ; Rémi tenta un baiser que je ...
... repoussai doucement avec le même « Chuuut… » que tout à l’heure. Moi, je lui massais le sexe à travers la serviette. Le trio passa à la vitesse supérieure car les deux filles avaient entrepris une fellation à deux, puis elles se relevèrent et firent glisser leur paréo au sol sans enlever leur loup. Caro (c’était prévu ainsi) s’empala sur le membre tendu de Bruno et simula (ou pas…) des cris de jouissance ; la bite que je tenais gonflait de plus en plus et je la masturbais doucement. Les deux filles s’embrassaient encore plus fort, et Caro alla chercher la bouche de Bruno qui pouvait se délecter de deux langues en même temps. Puis les deux filles se regardèrent, nous regardèrent, se firent un hochement de tête, se levèrent et se dirigèrent vers nous. Caro me tendit la main. Je la saisis et me levai ; Cécile prit ma place. Bruno admirait la scène avec un sourire de satisfaction non dissimulé. Avec Caro, nous avons commencé une étreinte saphique intense. Mon paréo glissa au sol. Nos mains touchaient toutes les parties dénudées de nos corps, parties intimes comprises. Cécile avait ouvert la serviette et agitait la bite de notre cocufieur, puis nous avons fait glisser nos loups et notre foulard alors que Cécile astiquait l’engin avec une telle force qu’il éjacula ; mais, vicieuse, elle ne s’arrêta pas jusqu’à ce que nous lui fassions face en nous tenant par la main. — Salopes ! Mais vous êtes de vraies salopes ! — Nous, des salopes ? Rémi, tu exagères ! Je ne nous qualifierais pas de ...