La Muse (16)
Datte: 27/09/2017,
Catégories:
Hétéro
... cette façon, mais plutôt de nanas qu’il ne faut pas prendre pour des connes, face à un goujat comme toi ! lui répondit-elle avec un calme olympien. Par contre, la paire de gifles que venait de lui envoyer Caro n’était pas d’un calme olympien : elle résonna dans le sauna. Il se leva d’un bond, prêt à me foncer dessus, fit un pas en avant et deux en arrière quand il reçut la paire de gifles que je venais de lui envoyer ; il se retrouva assis, se tenant les joues, la bite pendante et baveuse. — Je vais vous défoncer ! hurla-t-il. — Essaye, juste pour voir. Écoute-moi bien, espèce d’enculé : si je croise ton chemin ou si tu va faire chier Caro, je te démonte la tête ! — C’est ça… Allez, ça va, cassez-vous. Cette fois je le pris à la gorge : — Nous casser ? Tu plaisantes : c’est toi qui vas te casser avant que je t’explose les couilles à coup de lattes. Au fait, si tu veux nous défoncer comme tu dis, pour info j’ai repris le karaté et je suis ceinture bleue. Tu vois, les gens là ? Ce sont des amis. À toi de voir. Le patron et un vigile arrivèrent ; croyant que nous avions un problème, ils ont pris Rémi par le bras et l’ont gentiment raccompagné vers la sortie. Nous n’avons plus jamais eu des ses nouvelles ; plus tard j’ai appris qu’il avait même quitté la région. swmsrrol Caro et moi avons fêté cela dignement : nous nous sommes câlinées, offrant ainsi un joli spectacle à Cécile et Bruno. Puis sont arrivés deux beaux garçons qui s’installèrent en face de nous. Plutôt bien foutus. ...
... Je me suis dit qu’un petit coup de quéquette là ou il faut serait le bienvenu. Je me penchai vers Caro : — Un petit quatre heures, ça te tente ? — Oh, tu sais, moi et les mecs, je pense que je vais faire une sérieuse pause. — T’inquiète, moi aussi ; mais un petit coup de temps en temps, ça fait du bien. Et tu sais, maintenant c’est moi qui dirige : je fais ce que je veux avec eux. Tiens, l’autre jour j’ai fait se branler un mec dans le train en lui montrant ma minette. — Donc tu ne leur laisses rien faire ? Je me suis levée. Petit test sur le premier beau gosse qui, au premier contact, voulut prendre les choses en main. Je lui chuchotai : « C’est moi qui dirige. » Sagement, il se reprit et se laissa faire ; ce garçon me parut doux et câlin. Je me suis amusée comme une folle. Caro finit par me rejoindre et m’imita : je caressais, elle caressait ; je suçais, elle suçait, et ainsi de suite. Moi, j’ai pris un pied terrible quand je me suis empalée sur son sexe tendu ; j’avais décidé de tout faire en matière de sexe. Je l’ai pompé jusqu’à ce qu’il m’envoie son jus au fond de la gorge. Pour conclure, les garçons nous offrirent un verre au bar de la boîte et un repas dans un bouchon. Ils voulaient nos numéros, mais sans résultat ; courtois, ils n’insistèrent pas. Le soir, nous sommes rentrées toutes les deux ; j’ai pris une bouteille de champagne au bar, et Caro et moi l’avons dégustée en même temps que nous fêtions notre vengeance, et surtout notre rencontre ; Rémi tomba dans les ...