1. La caissière était sympa


    Datte: 21/04/2020, Catégories: fh, rousseurs, extracon, magasin, Oral pénétratio,

    Pour parler vrai, on peut dire que je suis un vieux chasseur qui chasse la mère de famille, dans les grandes surfaces de la banlieue lyonnaise. Cela me conduit à fréquenter tous les supermarchés des alentours. Parfois, cette battue s’avère fructueuse et il m’est arrivé assez souvent de ramener une femme mariée ou une célibataire endurcie dans mes filets. Je ne m’attache pas trop au physique de ces donzelles. C’est vrai que ce ne sont peut-être pas toujours les plus belles. Quoi que ! La beauté est une chose toute relative et il est des beautés cachées qui surpassent la simple plastique commerciale. Et puis, une femme est une femme, et une femme est toujours par sa nature même un être attirant. Toujours est-il que ce jour là je revenais bredouille d’une longue matinée de traque, après avoir pourtant fait maintes fois le tour des rayons. Aucune victime potentielle : seulement des mères de famille fidèles et des mamies asexuées (ce qui n’est heureusement pas le cas de toutes les mamies). Je me suis rabattu sur le coin littérature. Le magasin possédait un bel étalage « librairie » avec pas mal de revues, y compris quelques magazines érotiques, ce qui est loin d’être le cas dans tous les magasins. J’en profitai donc pour faire quelques emplettes. Je suis très friand de ce genre de littérature et je ne vois pas ce qu’il y a de mal à cela, il n’y a pas de quoi en avoir honte. Sauf que… sauf que, quand les gens voient ce genre de livre traîner dans votre chariot, ils ne peuvent ...
    ... s’empêcher de sourire. Les femmes, quant à elles, sont plus volontiers offusquées, je me demande bien pourquoi, elles aiment faire l’amour tout autant que nous, après tout. Le problème principal de ce type d’achat c’est le passage en caisse. On tombe souvent sur une fausse coincée qui croit bien faire en mimant une moue désapprobatrice. Et j’ai une sainte horreur de ces moments là. Ce jour là la caissière était une grande blonde plutôt mature, sensiblement mon âge et à peu près ma taille. Elle passa les bouquins sans rien dire et, lorsque je lui présentai ma carte, elle précisa simplement : — Il faut la glisser dans le boîtier et composer votre code. Simple mais efficace : un bon point pour elle… Mais, alors que je la dévisageais en attendant que la machine veuille bien prendre en compte mon paiement, elle ajouta un clin d’œil coquin des plus évocateurs, suivi d’un léger sourire complice. Fichtre ! Je ne suis pourtant pas bel homme… et elle plutôt jolie femme. — Je sors dans une demi-heure aujourd’hui, ça vous dirait de m’attendre à la sortie ? ajouta-t-elle simplement avec une petite voix fluette. Un sacré coup au cœur, je frise la crise cardiaque. Si ce n’était pas une invitation ça ! Je me suis mis à bander presque aussi sec en la regardant béatement. — Votre reçu… monsieur, votre reçu… votre reçu… votre reçu monsieur. Elle a dû dire ça plusieurs fois mais j’étais dans un autre monde. Je regardais ses lèvres bouger, j’avais l’impression de flotter dans une atmosphère irréelle. ...
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