La caissière était sympa
Datte: 21/04/2020,
Catégories:
fh,
rousseurs,
extracon,
magasin,
Oral
pénétratio,
... J’ai émergé du rêve et j’ai saisi le ticket sans rien ajouter, la cliente suivante nous écoutait, une pointe de curiosité sarcastique au coin des lèvres. Je me suis arrêté au bout de la galerie marchande. Allait-elle passer par là ? Une fois dehors, je me suis assis sur un banc et j’ai attendu bien sagement. Une bonne heure plus tard, mais j’étais dans mes pensées et un peu hors du temps, une femme s’est penchée vers moi : — Excusez-moi mais ça a été un peu plus long que prévu.— Oh, ce n’est pas grave, pas grave du tout.— Je m’appelle Sabine, et vous ?— Thierry.— Et bien Thierry, on va chez vous ou chez moi ?— Pardon ?— Ecoutez, je vous plais et vous me plaisez, alors pas de chichis entre nous. Vous avez envie de baiser et j’ai moi aussi très envie de baiser, ne perdons pas de temps… Allons chez moi, ce n’est pas très loin.— Mais vous faites ça avec tous les clients qui achètent des livres pornos ? ai-je demandé bêtement, en la suivant sur le parking. Elle éclata d’un rire franc et massif : — Oh non, rassurez-vous, vous êtes l’un des premiers… Hi, hi… Et, en plus, vous, vous n’êtes pas un inconnu. Vous venez souvent au magasin, je vous ai vu plusieurs fois, et j’ai repéré votre petit manège. Je sais que vous venez ici pour aborder des femmes. Et comme vous me plaisez, je me suis dit « Tien, pourquoi pas moi ?». Il n’y a pas que les clientes qui ont envie de ce genre d’aventure, les caissières aussi ont des envies pressantes. Je m’étais juré que si un jour il vous prenait ...
... de passer par ma caisse, je vous mettrais le grappin dessus. J’en suis resté baba. — Vous n’y allez pas par quatre chemins, Sabine.— Je sais ce que je veux. J’aime baiser et je le dis, ça vous dérange ?— Mon dieu non, bien au contraire, je trouve ça très excitant.— Et pour ce qui est des revues pornos, moi aussi j’aime bien en regarder. Alors, vous voyez Thierry, nous sommes vraiment faits pour nous entendre, non ? Elle me fit un nouveau clin d’œil. — Et ne dites pas que je ne vous plais pas, l’une de vos dernières victimes me ressemblait comme deux gouttes d’eau.— La grande blonde à lunettes ? Malheureusement ça n’a pas marché entre nous. Je l’ai raccompagnée jusqu’à sa voiture, mais au dernier moment elle s’est ravisée. Mais c’est vrai que je la trouvais agréable, et que vous l’êtes encore beaucoup plus.— Vilain flatteur ! Le principal c’est que je vous fasse bander… Vous me suivez ? Je possède la petite R5 bleue qui est là-bas. Une fois arrivés chez elle, elle me proposa un verre. Mais je n’eus pas le loisir de le déguster. A peine étais-je assis sur son canapé que Sabine se jeta à mes pieds et commença à défaire un à un les boutons de mon jean. En silence, sans même échanger un mot, elle commença à me branler, à me caresser les couilles, avec inspiration, avant d’emboucher sauvagement mon sexe. Tout laissait supposer qu’elle adorait sucer ma bite et qu’elle avait l’habitude de ce genre de pratique. Un sacré savoir-faire même ! Il fallait voir comment elle l’avalait cette ...