1. Nuit de supplices (1)


    Datte: 22/04/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... fauteuil, un homme les observe attentivement. Parfois, il montre une partie du corps de l’extrémité de sa cravache. Très vite, une pince vient pincer la peau de Marjorie sur l’emplacement désigné. Il attend son tour, le moment où il se lèvera pour retirer ces pinces à l’aide de sa longue et fine cravache. Toujours entre ciel et terre, Marjorie subit son supplice, ces douces vagues de chaleur qui envahissent son corps toujours plus loin, toujours davantage, la porte aux portes de l’extase. Elle va jouir, cela se voit. Déjà son visage se défait, se déforme au fur et à mesure que l’orgasme se propage. Isabelle plonge sa main entre la cuisse de sa prisonnière. C’est le moment suprême où la douleur devient plaisir, un plaisir extrême, violent, emportant Marjorie vers d’autres cieux. On la laisse se reprendre. En face de Marjorie, l’homme s’est levé. Près de la bouche, il pose ses lèvres. Un baiser furtif, amoureux, mais bien encore trop bref pour Marjorie. Déjà la pointe de cette cravache parcoure ce corps entravé, prisonnier des vices de ses bourreaux. La nuit est tombée depuis longtemps, son calvaire orgasmique ne fait que commencer. La cravache frappe cette fesse déjà rendue si bien douillette à cause de la cire brûlante. Sur le sol, cette cire tombe, éclate en petit morceau de toutes les couleurs. Sur la plante de ses pieds, la cravache fait son office, elle chatouille ou frappe, c’est selon. La cire continue de se retirer et tomber à même ce tapis moelleux. Marjorie pousse ...
    ... de petits cris à chaque coup reçu. Encore une fois, cette chaleur revient, plus forte encore. Les coups pleuvent sans faire souffrir plus que de raison. Ici, nul sadisme à outrance, juste ce qu’il faut pour faire jouir celle torturée. Une première pince git sur le sol, juste sous les yeux de Marjorie, celle qui écrasait son téton droit. Isabelle est sur le fauteuil, elle regarde sa compagne dans son supplice. Une main sur sa poitrine, elle se caresse lentement. Un peu comme si elle voulait jouir en même temps que Marjorie qu’elle aime. L’homme se montre aucun impatience, il ne frappe que lentement, caressant ce corps sans aucune défense. Il frappe encore, par surprise, toujours, arrachant une pince à linge, une de moins sur son corps, pense Marjorie. Il frappe avec la précision d’un chirurgien. Chaque coup est murement pensé, calculé. Il ne frappe pas au hasard, comme certains le feraient. Il ne frappe que pour augmenter la puissance de l’orgasme de sa victime. Coup après coup, les pinces tombent à même le sol. Marjorie sent son plaisir arriver, il n’est plus cette douleur, mais une violente éruption volcanique. Elle explose quand la dernière pince s’arrache de son corps, elle était sur ce mamelon gauche si bien exposé entre ses deux cordes. Elle jouit, son orgasme semble sans fin. Il la regarde, la caresse intimement, il s’ingénue à prolonger cet orgasme qui gagne aussi Isabelle sur son fauteuil. Pourtant, on ne délivre pas Marjorie pour autant. Elle est venue de son plein ...