1. Nuit de supplices (1)


    Datte: 22/04/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... dans sa bouche accentue cet orgasme. Elle sait qu’on l’épuise volontairement. Marjorie sait que son mari prendra Isabelle une fois qu’ils en auront terminé avec elle. Marjorie sera impuissante, merveilleusement prisonnière de ses cordes. Marjorie les verra, devant elle, juste là, sur ce lit, s’aimer avec fougue, passion et désir. Mais comment ne pas leur pardonner, elle a tout eu, même plus qu’elle n’en voulait. Et pourtant, ils n’en ont pas fini de l’épuiser. Elle supplie de la faire mourir de plaisir, ce à quoi ils s’appliquent depuis le début de cette séance. Isabelle se laisse jouir doucement sur cette bouche si accueillante. Marjorie boit cette liqueur d’amour qui coule le long de sa langue. Dans son anus, cette verge qui la pilonne, qui jouit en elle, la remplit de cette douce chaleur qu’est ce sperme tout chaud. Cette fois, épuisée, même sa langue ne parvient plus à satisfaire ce sexe si délicatement féminin. Entre ses cuisses, l’homme se retire doucement. On la couche sur le bord du lit, solidement entravée. Sur sa bouche, un bâillon vient encore entraver son corps, exciter ses sens. Le couple pervers se donne l’un à l’autre sous le regard de Marjorie. Cette fois, c’est de l’amour tendre. Lentement, le couple semble se découvrir l’un à l’autre. De caresse, de baiser, les corps gémissent déjà. Deux ...
    ... sexes qui s’enchâssent parfaitement. Le jeu tendre et doux de cette journée qui arrive, commence. Là encore, ce couple va s’aimer jusqu’à ne plus pouvoir. Cette suite dans cet hôtel se révèle parfaitement adapter pour leurs rencontres aussi divines que jouissives. Les corps finissent par se calmer puis, s’endorment tranquillement, les uns à côté des autres, entièrement libéré de toutes entraves. vrzvccgu En toute fin de journée, le trio quitte cette suite, bagages en main. Dans la voiture, ils regagnent leur logis. Ce trio ne vit que pour ça, la passion du plaisir sous toutes ses formes. Alain sait, tout comme Isabelle, que son jour remplit de supplices divins viendra, il l’espère, l’attend avec cette même impatience que montrait Marjorie. Marjorie qui raconte sa nuit de bonheur. Elle est comme une enfant racontant ses cadeaux de noël, un noël bien avant l’heure. Sur sa peau café au lait, elle montre les traces des cordes qui enserraient son corps tout au long de ce très long week-end de plaisir. Dès le retour de leur appartement, la vie semble vouloir reprendre son cours dans son train-train quotidien jusqu’à la prochaine fois du moins. Demain, chacun se reprendra son travail, sa vie, comme chaque lundi. Pourtant, tout sera différent, c’est, maintenant, le temps de l’attente, celui de la prochaine fois. 
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