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Les fantasmes de la notaire (3)
Datte: 22/04/2020, Catégories: Partouze / Groupe
... profondément, redoutant et désirant ardemment tout à la fois la pénétration qu’elle s’apprêtait à subir par ce jeune Noir athlétique et particulièrement bien membré. Il finit par positionner le gland gonflé et tendu à craquer à l’orée toute ronde de la chatte, et il poussa lentement. Marie-Cécile eut l’impression d’être empalée par un pieu ! Heureusement, elle mouillait tant depuis le début de la soirée que le vit énorme s’enfonça en elle sans douleur. Elle en eut le souffle coupé. Puis elle ne put réprimer un « OOOHHHH » tandis que la grosse queue n’en finissait plus de continuer sa course jusqu’à buter tout au fond de son bas-ventre. Sûr qu’il ne pouvait la rentrer complètement, pensa-t-elle à ce moment, et en effet, elle ne sentait pas le pubis du jeune homme arriver en contact contre ses fesses. Il la saisit par les cheveux, la forçant à redresser un peu sa tête et lui demanda d’une voix rauque et vicelarde : « - Alors, Madame la bourge, tu t’es déjà prise une queue comme ça ?!!! — Ah non, comme celle-là, jamais !! — Alors, c’est un bon une queue de Renoi, hein ?! — Oh oui ! — T’aimes ça les grosses queues, hein, p’tite salope ?! Ça se voit... ! — Oh oui, j’aime... » répondait-elle, le souffle presque coupé parce que le gros chibre qui l’avait investie commençait à la pistonner, lui emplissant tout son bas-ventre, lui procurant une sensation inégalée, l’impression d’être vraiment prise, dominée, envahie... La crudité des mots qu’il employait, la vulgarité un peu brutale ...
... avec laquelle il la traitait, même si cela la bousculait un peu, n’était pas pour lui déplaire. Dans ses fantasmes les plus secrets, dans les scènes qu’elle imaginait quand elle était seule, tard le soir au fond de son lit, quand un désir inassouvi la tenaillait parce qu’elle n’avait pas eu sa dose de sexe, elle servait d’objet sexuel à trois ou quatre racailles noires, le bonnet ou la cagoule sur la tête, qui la faisaient tourner entre eux comme ils faisaient de leur joint, et elle était comme une poupée de chiffon, passant de main en main, ballotée, secouée sous les coups de pine qu’ils lui faisaient subir, autant dans sa bouche que dans sa chatte. Quant à son anus, il était dilaté, un trou béant, son petit cul défoncé par ces brutes à tour de rôle. C’est à tout ceci qu’elle repensait à ce moment-là, la sensation de sa chatte envahie et forcée lui faisait remonter à l’esprit ses fantasmes, les pires, les plus crus. Le Black aux manières de caillera lui envoyait ses coups de pine tout au fond de son ventre, bousculant son utérus et ses ovaires : elle ressentait son anatomie interne, des parties enfouies qu’elle ignorait jusque-là. Les mains grandes et puissantes tantôt refermées des deux côtés de sa taille, emprisonnant ses hanches, tantôt la maintenant aux épaules, tantôt la tirant en arrière par les cheveux, elle avait l’impression de se faire malmener... mais quel pied elle prenait ! C’était sa fête ! L’autre type d’âge mûr, au corps moins massif mais bien bâti, s’était ...