1. Les fantasmes de la notaire (3)


    Datte: 22/04/2020, Catégories: Partouze / Groupe

    ... installé face à elle, et faisant comme chez lui, lui avait fait ouvrir la bouche et y avait enfoncé sa grosse bite noire. Rapidement, il avait placé ses mains de chaque côté de son joli visage d’ange, déjà un peu rouge, et lui baisait lentement mais littéralement la bouche. Marie-Cécile était farcie des deux côtés et cette seule pensée la fit jouir une nouvelle fois, et elle émit un petit couinement étouffé. Le troisième homme se sentait un peu seul, et comme si elle avait deviné ses pensées, Stéphanie, sans cesser de surveiller son amie comme une grande sœur responsable, prenant en pitié sa grosse queue redevenue un peu molle mais néanmoins d’une taille encore respectable, l’attrapa sans plus réfléchir et se mit à la polir avec application avec sa jolie main. Encouragé, il avait passé sa main sous sa jupe, l’avait glissée sous sa culotte et la faisait descendre sur ses fesses. Bien loin de se défendre, Stéphanie gloussait légèrement, se tortillait sans chercher vraiment à lui échapper. Après avoir palpé et caressé ses fesses douces et bien pleines, ce sont deux doigts qui continuèrent leur progression de spéléologue, atteignirent le petit cratère, le titillèrent, l’agacèrent au passage, puis finirent leur course sur leur destination finale, l’orée d’une petite chatte, qu’ils trouvèrent bien trempée. L’homme qui devait ne pas avoir beaucoup plus d’années que Stéphanie la regarda en souriant de toutes ses dents, un sourire qu’elle qualifia de ravageur et de carnassier tout à ...
    ... la fois. Se serrant contre elle, il lui murmura tandis qu’il lui fourrait ses doigts dans son conduit : « - Hum, mais c’est qu’elle est toute mouillée, la jolie petite dame... Je crois qu’il y a une petite agnelle qui ne demande qu’à faire connaissance avec le loup... Je sens que je vais la croquer. » ejteiibs Stéphanie continuait à regarder son amie se faire fourrer vigoureusement en levrette, la bouche prise par la grosse queue de l’autre homme, et elle commença à onduler du bassin sous l’emprise des doigts de l’homme qui lui fouillait sa chatte de plus en plus énergiquement. Elle poussa même un petit cri qu’elle ne put réprimer, surprise elle-même par un orgasme qui venait de la saisir. Il faut dire que la scène qu’ils étaient en train de vivre était particulièrement torride. Les deux hommes qui embrochaient Marie-Cécile soudain échangèrent leurs rôles, mais ils la firent descendre du canapé, jugeant sans doute qu’ils manquaient d’aise, et la firent se placer à quatre pattes sur le tapis. « - Allez, cambre-toi bien, tends bien ton cul, avance tes genoux ! Et pose ta tête sur tes mains. » ordonna Moussa, le quadragénaire. Marie-Cécile s’exécuta, bien docile. Elle ne vit pas l’homme faire un signe à Stéphanie pour lui réclamer du gel lubrifiant. Celle-ci dut à regret sortir des pattes de celui qui était en train de lui fourrager la chatte, et elle alla chercher un tube qu’elle avait placé d’avance dans un tiroir, pour le lui donner. Quand elle revint, l’homme, enhardi, lui ...