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Mon initiatrice au métier d'ostéopathe
Datte: 23/04/2020, Catégories: ffh, grossexe, Collègues / Travail Oral pénétratio, historique,
Je m’appelle Béatrice. Je viens d’emménager dans mon cabinet d’ostéopathie dans une maison médicale ; nous sommes quatre praticiens avec une secrétaire. J’exerce enfin depuis quelques mois. Je suis une belle jeune femme assez petite et fluette et ça n’a pas été de tout repos pour exercer ce métier où on est amené à manipuler assez vivement et parfois avec force le corps de ses patients. Je reçois un beau jeune homme de 18 ans prénommé Patrick qui a fait un mauvais plongeon à la piscine et s’est abîmé le dos. C’est le dernier client de la semaine, mes collègues sont déjà partis, il ne reste que la secrétaire. Ça fait quelques séances que je le vois et son dos va de mieux en mieux. Il se met en slip et s’installe sur la table de massage. J’exerce quelques manipulations dont celles qui me font prendre son visage contre ma poitrine pour forcer le mouvement des vertèbres. Sa respiration forme un cercle chaud sur ma peau malgré le tissu de la blouse. Il me fait confiance et se laisse aller, facilitant ainsi mon travail. Je commence à lui palper le dos en lui demandant de m’indiquer les zones douloureuses. Je lui signale : — Vous êtes trop tendu, je vais arranger ça ! Et je commence mon massage. Il m’avoue que c’est très agréable et que mes manipulations le soulagent vraiment beaucoup. Il me murmure que j’ai un très beau corps et me fait rougir. Effectivement, sans me vanter, à 25 ans je suis plutôt pas mal faite, 1,56 m, 50 kg, brune, cheveux mi-longs, yeux verts. Nous échangeons ...
... des banalités, il est absolument charmant. Je lui rétorque qu’il est pas mal non plus et que je préfère des jeunes corps comme le sien à manipuler. Puis au bout de cinq minutes, il m’indique qu’il a plus particulièrement mal dans les lombaires. Je concentre donc mon massage sur cette zone et masse le bas de son dos, effleurant à chaque passage l’élastique de son slip. Puis mes mains descendent encore plus bas et massent le haut de ses fesses au-dessus du tissu. Continuant à descendre encore je pose ma main sur ses muscles fessiers pour pousser sur son coccyx en deux ou trois très fortes poussées. Arrive le contrôle du bassin. Je lui fais plier les jambes, soulever le bas du dos pour que je puisse glisser ma main qui va servir d’appui à mes manipulations. J’ai toute une série de pressions à exercer sur l’abdomen, le sacrum et le coccyx. C’est seulement après un moment que je prends conscience de ce qui se passe quand je sens quelque chose de chaud toucher ma main posée sur son ventre ; sa verge n’est plus emprisonnée dans le triangle de tissu. Elle s’est déployée. Il bande et le bâton de chair pointe hors du slip et frotte sur ma main. Le gland s’est frayé un chemin entre le ventre plat et l’élastique qui l’étrangle. Je ne sais pas quoi faire, quoi dire. Protester et lui demander de cesser son manège ? Mais il n’est pas responsable. Un réflexe, un réflexe purement masculin, voilà ce que mes manipulations ont produit. Moi non plus je ne suis pas coupable. Je n’ai rien fait de ...