Mon initiatrice au métier d'ostéopathe
Datte: 23/04/2020,
Catégories:
ffh,
grossexe,
Collègues / Travail
Oral
pénétratio,
historique,
... plus que d’habitude. Mais je suis très gênée. — Excusez-moi, m’annonce-t-il, mais vous me faites tellement de bien que je n’ai pas réussi à me contrôler ! Au cours des dernières séances, j’ai bien senti son regard brûlant parcourir mes formes, mes fesses, détailler le haut de mes cuisses, caresser mes seins, rouler sur le creux de mes hanches et dévaler la courbure de mes reins… J’ai senti tout cela bien nettement mais maintenant c’est du concret. Je lui réponds : — C’n’est pas grave, détendez-vous, je vais vous dénouer, vous êtes bandé comme la corde d’un arc, euh… Enfin… ce n’est pas ce que je voulais dire ! Regardant la progression de sa queue, son érection a progressé et maintenant pratiquement 10 centimètres dépassent de son slip. Nous échangeons un regard gêné. Cette queue m’hypnotise. Je sens qu’il bouge un peu. Il se cambre, la pression sur ma main diminue. Face à lui, je le regarde plonger sa main pour la voir réapparaître avec un énorme gourdin. Mon regard ne peut se détacher de ce chibre. Il doit bien faire dans les 22 cm, facilement et surtout ce qui m’impressionne, c’est son calibre d’au moins 6 de diamètre, peut-être plus à sa base et pour le gland, sa verge est aussi grosse que mon poignet ! Je n’ai jamais vu un tel engin. Il est vrai que ça ne m’est pas arrivé souvent, ayant une préférence pour les femmes. Il se caresse doucement devant moi. Cette vision et cette pensée m’excitent et m’échauffent l’esprit. Je le regarde se branler et je ne dis rien, comme si ...
... c’était normal. Il se caresse, tirant pour découvrir la peau si tendre du gland. C’est beau. Sa main se saisit de la mienne pour la guider et bientôt c’est moi qui joue avec son instrument. Mes mains vont à la découverte de son membre viril que je le libère de son slip et je vois, tendu vers moi, son pénis qui n’attend que moi. Son sexe et ses bourses sont maintenant offerts à mon regard. Plus rien ne fait obstacle. — Vous me faites bander comme un âne ! lâche-t-il la voix plus rauque.— En parlant d’âne, vous en avez déjà la queue ! je lui rétorque. Je sens sous mon très fin petit slip de dentelle que j’ai la fente en feu, et ça y est, voilà, cette fois c’est sûr, je décharge entre mes jambes. Je connais les conséquences d’un tel déluge de cyprine pour le petit slip de dentelle, la petite tache qui s’agrandit au fond ne laisse aucun doute. Je viens de mouiller, conséquence des sensations des minutes précédentes ! De plus, comme une idiote, je n’ai pas mis de protège-slip. Nous sommes en face l’un de l’autre et il prend mon visage dans ses mains et dépose un baiser sur ma bouche, je le regarde et lui dis : — J’ai envie de vous !— Moi aussi, m’avoue-t-il, j’ai réussi à me contenir les séances précédentes mais aujourd’hui je n’ai pas pu m’empêcher de bander. Excusez-moi ! Mais ses mains ne disent pas la même chose. Il ne se démonte pas et sans me laisser le temps de réfléchir il dégrafe ma blouse tout en m’embrassant dans le cou, et m’ôte mon soutien-gorge d’une seule main, je ...