1. Prendre son pied


    Datte: 24/04/2020, Catégories: ff, jeunes, inconnu, piscine, Voyeur / Exhib / Nudisme pied, Oral Lesbienne

    Un dîner avec cinq collègues dans une auberge. Peu à peu, l’alcool aidant, nos langues se dénouent. C’est alors que chacun notre tour, nous confessons aux autres convives ce qui doit être notre plus belle aventure sexuelle. J’ai pris la parole le premier, racontant à mes hôtes notre relation avec Alexandre… Je venais de terminer mon récit dans un silence minéral. Les autres semblaient soufflés par mon histoire. Autour de nous, on riait, on discutait. C’est alors que Mauricette prit la parole. Elle fut la suivante à se confesser. Je commandai une bouteille de champagne. La nuit allait être très longue. Après que le serveur eut empli nos verres, elle se lança. Il m’a fallu attendre longtemps avant que mon souhait de trouver une partenaire pour m’aider à vivre ma sexualité se réalise. J’avais même fini par croire que cela ne se produirait jamais mais, un jour, mes parents ont organisé une réception pour fêter les quarante ans de ma mère. Elle avait invité des amis, des collègues et, évidemment, la famille. Je n’aimais pas trop voir du monde. Je préférais m’isoler dans mon univers. Je suis sortie dans le jardin alors que la fête battait son plein. J’étais d’un côté de la piscine, avec un verre de jus d’orange à la main, quand j’ai aperçu une fille en face. Je l’ai détaillée. Elle n’était pas très grande, avec des cheveux noirs. Elle était plutôt menue, une poitrine inexistante, moulée dans un débardeur bleu de la même couleur que son jean bleu délavé. Voyant que je la ...
    ... regardais, elle m’a souri, de loin. De ce que je pouvais observer, elle était plutôt jolie. Quelque chose de très fort émanait d’elle, et sa façon de me fixer, sans se donner la peine de se cacher, indiquait que je ne la laissais pas indifférente. Des filles m’avaient déjà fait des avances, mais jamais d’une manière aussi nette. Je me suis sentie toute drôle. J’ai alors songé, une fois de plus, à mes petits petons et à l’envie que j’avais que quelqu’un d’autre que moi les caresse. C’était le moment ou jamais. J’ai planté mon regard dans celui de la petite brunette et, après une mimique de la bouche, comme si je lui envoyais un baiser, je lui ai fait signe de me rejoindre avant de m’éclipser en direction de la maison. Dans le miroir de l’entrée, j’ai vu qu’elle me suivait. Quand elle est arrivée dans ma chambre, j’étais déjà installée sur le lit. Ce jour-là, je portais un tee-shirt et une jupe courte avec un string dessous. J’aurais été incapable, je crois, de lui dire ce que je voulais avec des mots, mais en revanche, je pouvais le lui montrer. J’étais convaincue qu’elle comprendrait. Elle attendait sans doute autre chose, mais il était sûrement possible de trouver un arrangement entre ses aspirations et les miennes. Quand elle s’est glissée dans la pièce, nous sommes restées quelques instants à nous fixer. Elle avait une manière de se mettre en valeur qui la rendait sensuelle jusqu’à en devenir obscène, tant ses vêtements étaient serrés. Son débardeur moulait une poitrine pas très ...
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