1. Prendre son pied


    Datte: 24/04/2020, Catégories: ff, jeunes, inconnu, piscine, Voyeur / Exhib / Nudisme pied, Oral Lesbienne

    ... grosse, mais suffisamment volumineuse pour être attirante, et les mamelons apparaissaient, preuve qu’elle n’avait pas de soutien-gorge. Ses hanches aussi étaient menues, mais le pantalon dessinait le renflement de son bas-ventre. Comme elle voyait que je l’examinais, elle s’est retournée pour me présenter un petit cul rond serré par le jean. C’était très curieux, si j’avais envie qu’elle me caresse et qu’elle me fasse jouir, j’avais aussi envie de son corps, de l’explorer. Un tas d’idées vicieuses montaient dans ma tête, alors qu’auparavant, quand j’avais vu, ou su, que des copines se livraient à des jeux lesbiens, cela n’avait rien suscité en moi. Elle s’est retournée pour me fixer avec le même regard avide qu’au bord de la piscine. Cette fille était une gouine certes, mais qui plus est, du genre vicieux. Il ne fallait pas compter sur elle pour l’amour à l’eau de rose. Ça tombait bien, elle pourrait sans doute me comprendre. J’avais envie de lui en donner un maximum et, en même temps, de lui montrer ce que j’attendais d’elle. J’étais couchée sur le dos. Les jambes écartées et la jupe retroussée au-dessus de la taille, j’exhibais mon entrejambe à peine voilé par le triangle de ma fine culotte. C’était la première fois que je me montrais aussi provocante. Je me révélai à moi-même ce jour-là, en découvrant que j’avais des penchants lesbiens que je ne soupçonnais pas. Sans la quitter des yeux, j’ai replié une jambe sur ma poitrine. Selon ma vieille habitude, pieds nus. D’une ...
    ... main, j’ai écarté le fond de ma minuscule culotte. De l’autre, je me suis caressée. Je n’insistais pas pour ne pas jouir trop vite, mais le résultat n’a pas traîné, la bouffée de chaleur bien connue est remontée à mon ventre. J’ai gémi, et une coulée de mouille suintant de ma fente a englué mes doigts qui tiraient ma culotte sur le côté. La fille m’a adressé un sourire complice, elle avait compris ce que j’attendais d’elle. La suite me l’a prouvé. Elle s’est tournée, tendant ses fesses vers moi, avant de défaire son jean et de le baisser, tâche complexe parce qu’il était vraiment très serré. J’ai bien eu le temps de profiter de ce que je voyais, un petit cul qui m’a semblé très dur, bien rond et fendu en deux par une raie profonde. Elle le projetait vers moi, impudique et provocatrice. En haut de ses hanches, dans le creux juste en dessous du débardeur, sur une chair brune qui laissait penser qu’elle pratiquait le bronzage intégral, vu qu’en nul endroit sa chair n’était blanche, reposait le triangle noir absolu d’une culotte qui se prolongeait, en descendant, en un fin tissu avalé par la profondeur du sillon. On le voyait réapparaître plus bas, contre le périnée, et il s’élargissait pour recouvrir le renflement du mont de Vénus. J’en voyais bien le gonflement, avec le creux au milieu, et ça m’inspirait une envie que j’avais du mal à contrôler. Elle a ôté complètement son jean. Gardant son débardeur, peut-être avait-elle honte de ses petits seins, mais aussi sa culotte, elle est ...