1. La pseudo bite de l'Annamite


    Datte: 24/04/2020, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    Je suis à table à un repas de fin d'année donné par mon employeur. A l'autre bout de la table, une jolie asiatique rit et parle avec ses voisins. Je ne l'ai pas remarqué tout de suite, quand une collègue de travail se penche vers moi : - Je crois que t'as un ticket, me dit-elle. Devant mon air interrogateur, elle me dit: - La jolie vietnamienne, là-bas... Je regarde à la dérobée, et je remarque que, tout en parlant avec ses voisins ou amis, elle jette des regards dans ma direction. Je fais semblant de ne pas l'avoir vue. Elle essaye de croiser mon regard et ses yeux et son sourire s'allument. Je me rends aux toilettes pour voir. Je pose la main sur la poignée de la porte des WC. La voilà. Elle me pousse à l'intérieur et referme la porte. Sans un mot, elle me prend par la main et m'entraîne vers un cabinet. Elle me pousse dedans et rentre avec moi. Elle se met à genoux, ouvre la braguette de mon pantalon, sort ma bite, et la fourre dans sa si petite bouche. Ses lèvres semblent démesurément écartées par la taille de ma pine. Elles montent et descendent le long de mon membre, l'enduisant de salive. Ma queue se tend un maximum, remplissant ainsi la bouche de la jolie asiatique. J'ai failli gémir sous la caresse. C'est sa main minuscule qui a étouffé l'expression de mon plaisir. Quand j'ai joui, elle s'est relevée et m'a poussé à m'asseoir sur la cuvette. Un doigt en travers de sa bouche, elle se penche vers moi. - Déshabilles-moi, souffla-t-elle. J'ai déboutonné son chemisier. ...
    ... Elle ne portait pas de sous-tif. Ses petits seins ronds et durs étaient dressés comme des obus. J'ai ouvert la braguette de son jean. Il avait l'air de manquer une taille, tellement son cul était moulé. La première chose que j'ai constatée, c'était qu'elle ne portait pas de culotte, non plus. Sa chatte était imberbe. Sur son pubis, on voyait le ticket de métro. Elle écarta les jambes, et vint s'asseoir sur ma pine. Sa chatte était tellement étroite, que j'ai cru ne pas pouvoir y entrer. Ma queue y était si serrée, que je pensais ne pas pouvoir lui faire le cul. Avec sa moule étroite, elle m'a branlé la bite, me faisant durcir un max. Au bord de l'éjaculation, elle s'est relevée, a empoigné ma pine, a posé mon gland sur son petit trou, et m'a glissé à l'oreille : - Vas-y, pousses fort ! J'ai poussé de toutes mes forces. Son cul était si serré, que, quand le gland eut dépassé l'anus, ma pine s'enfonça toute entière dans son fourreau. Elle s'est mise à coulisser le long de ma queue. L'étroitesse de son trou, faisait que son anus s'enfonçait à l'intérieur quand ma queue plongeait en elle ou restait collé à ma bite, quand j'en sortait. Il ne fallut pas longtemps pour que je lâche la purée. Du coup, la lubrification par mon sperme, l'aida à accélérer ses mouvements. Soudain, elle se releva, juste assez pour garder ma pine dans son cul. Par une acrobatie de ses jambes, toujours empalée sur mon dard, elle me tourna le dos. Elle murmura : - Je sais que vous les mecs, ça vous excite de ...
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