La pseudo bite de l'Annamite
Datte: 24/04/2020,
Catégories:
Entre-nous,
Hétéro
... voir vos queues glisser dans mon cul ! Elle se pencha en avant pour que je puisse mieux voir. Effectivement, elle continua à monter et descendre le long de mon manche. Dans cette position, je voyais ma bite disparaître entre ses fesses quand elle s'asseyait sur mes cuisses, et réapparaître quand elle relevait son cul. J'ai joui une nouvelle fois dans son cul, puis, nous nous sommes relevés. On s'est rajustés et nous sommes retournés à la table. Ma voisine m'adressa un sourire entendu, en voyant un petit rictus de satisfaction sur mon visage. Le lendemain, on sonne à ma porte. Je vais ouvrir, elle était là. Je suppose que c'est au boulot qu'on lui aura donné mon adresse. Elle avait, je le sais, de solides arguments, pour arriver à ses fins. Elle était devant ma porte, avec pour vêtements, un polo qui s'arrêtait sur la pointe de ses seins, et une jupe, ou plutôt une ceinture, vu la largeur(pas plus de 20 cm) du ruban de cuir. Elle ne portait toujours ni soustif, ni culotte. - T'as pas peur de te faire violer ? Demandais-je. - Le viol, dit-elle, c'est quand on veut pas ! Moi...... Quand j'ai ouvert la porte en grand, elle était déjà à poil. Elle s'est plantée au milieu de la pièce, complètement nue. Quand je me suis retourné, elle m'a fait un grand sourire et m'a dit : - Lèches-moi partout ! J'ai commencé par les pieds. A mesure que je remontais vers sa tête, elle m'ôtais les vêtements à sa portée. Quand je suis arrivé sur ses lèvres, je l'ai embrassé et elle tenait mon slip ...
... dans sa main. Elle a plaqué ses mains sur mes fesses, et s'est collée à mon ventre. Elle a attrapé ma bite, et a frotté sa vulve avec. - On refait la même chose qu'au restaurant, ou j'improvise ? - Improvise, tu m'étonnes toujours ! - Et si c'est moi qui te prend le cul ? - Tu plaisantes ? - Jamais avec la baise ! Tu as le matériel ! - Comment tu sais ça, toi ! - C'est grâce à lui, dit-elle, en me montrant son cul. Je lui donnai le godemiché. Elle alla dans la cuisine, et revint avec une bouteille d'huile. Elle a trempé le gode dans la bouteille, et le laissa s'égoutter. Elle me renversa sur le lit, à plat dos. Elle se mit au dessus de moi et s'assit sur mon visage. Ma langue s'insinua dans sa vulve, et recherchèrent le bouton du clitoris. Je le mordis légèrement, ce qui lui arracha un petit cri de souris. Voyant que le gode ne coulait plus, elle le saisit, et l'insera dans ma raie, lubrifiant comme il faut le passage. Sans rien demander, elle revêtit l'ustensile, et, me saisissant par les pieds, elle me retourna sur le ventre. Puis elle me tira vers elle, jusqu'à ce que mes hanches soient au bord du lit. Je me suis retrouvé à genoux, les fesses relevées et offertes. Elle posa le gland en plastique sur ma rondelle, et marqua un temps d'arrêt. - Tu sais ce qu'on dit au bureau ? Homme ou femme, tout le monde dit que tu as un beau cul. Les hommes disent que tu les rendrais pédé, et les femmes, que tu fais de nous, des amazones. Je vais t'enculer, mais j'aime encore mieux quand ...