1. A la découverte du nouveau corps


    Datte: 28/09/2017, Catégories: ff, sport, Oral 69, humour, fantastiqu, Lesbienne

    ... Je me sens un peu coupable, car il y a beaucoup de tromperie dans tout cela. Mais j’y ai déjà réfléchi et je me promets à l’instant de ne pas me gâcher le plaisir avec des considérations parasites. Alors, on accélère un peu, un tout petit peu, marrant comment cela dit clairement qu’on en a envie toutes les deux. Dans le hall, au moment d’appuyer sur le bouton de l’ascenseur, on s’est lâché la main, des fois qu’on croise du monde. Justement, Christine sort comme une fusée en nous lançant : — Salut les filles, bon week, suis en retard… On rentre dans la cabine en regardant le sac à dos tourner au coin du hall puis on rigole. La speedée nous fait rire, et ça détend un peu. Tout en posant les courses par terre, Laurence appuie sur le quatrième étage, les portes se ferment, elle me saute dessus. J’ai sa langue dans la bouche, elle me l’a enfournée et elle explore tout partout. Je ne la reconnais pas, mais après une seconde de surprise, je réponds favorablement à son assaut. Elle s’est ruée sur moi, me collant le dos à la paroi de l’ascenseur. Ses petits seins pressent ma poitrine, une main derrière ma nuque attire mon visage, une autre derrière mes fesses me colle à elle. Rapidement, elle insinue une jambe entre les miennes puis remonte le genou jusqu’à ce que sa cuisse frotte l’entrejambe. À mon tour, d’une main, je presse une de ses petites fesses musclée, rebondie et étroite comme celle d’un jeune mec. Je l’attire vers moi, qu’elle vienne coller son pubis. Alors sa cuisse ...
    ... remonte encore un peu, pressant la vulve au travers des pantalons. Laurence est avide, presque brutale, elle n’en peut plus de me vouloir, moi aussi j’ai envie. L’ascenseur s’arrête, le ralentissement prévenant une demi-seconde à l’avance de l’ouverture des portes. On s’écarte en un instant des fois qu’un pékin attende derrière. On se regarde en pouffant, comme si nous étions liées d’une longue complicité. Nous sommes comme des pivoines, rouges d’un afflux de sang au visage en attendant qu’il atterrisse ailleurs. Ce dont j’ai le plus envie, d’une façon irrépressible, c’est qu’elle me tête les seins. Je crois savoir que c’est aussi son envie, que c’est urgent. Arrivées dans sa chambre presque en courant, après avoir largué les courses dans l’entrée, on s’assoit de part et d’autre du lit pour retirer nos chaussures. On se regarde en riant, bien contentes de l’incendie qui nous gouverne. Baignées dans la pénombre des rideaux tirés, on retire pulls, tee-shirts et pantalons pour se retrouver en sous-vêtements. Nous sommes toutes les deux en blanc, plutôt dans un style petit bateau que lingerie féminine. Les formes claires se détachent dans l’ombre, accentuant la matité de nos peaux. On s’observe à nouveau pour s’arrêter là, puis on s’approche l’une de l’autre, à quatre pattes, comme deux chats. Deux chattes disons. J’aime bien son petit cul musclé, sa peau mate et bronzée, ses cheveux courts noirs, aussi noirs que ma touffe. J’ai hâte de lui montrer et je me demande alors si elle va ...
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