A la découverte du nouveau corps
Datte: 28/09/2017,
Catégories:
ff,
sport,
Oral
69,
humour,
fantastiqu,
Lesbienne
... imperceptiblement d’un registre doux et tendre à un rythme plus fort, plus rapide, haletant. Plus tard, à la limite de défaillir, rompant le rythme, j’abandonne sa poitrine pour me glisser vers sa chatte, la mienne s’approche alors de son visage. Les culottes se sont vite envolées, alors les senteurs sont fortes, semblent comme épaissir l’air de la pièce. Je l’allonge sur le dos, et recouvre alors son visage de ma touffe. Je sais qu’elle saura se débrouiller, j’en ris intérieurement. Un instant de doute, l’inquiétude de m’y prendre mal alors que Laurence a dû s’en taper, des minous. En tant que Tiphaine, c’est censé être ma première fois, mais justement, ce petit minou je le connais déjà. Au dessus d’elle, je commence alors à m’engager dans un fantasme qui me triture depuis seulement quelques minutes. J’écarte en grand ses cuisses pour l’ouvrir au maximum, je ne peux alors m’empêcher d’écraser un sein sur sa vulve. Pas mal. J’aime bien, c’est mouillé, comme avide, chaud. De deux doigts frénétiques, je serre le bout du sein pour rendre le téton plus proéminent, je l’enfonce un peu, ça rentre à peine. C’est pour cela que je lui ai tant écarté les jambes, pour m’appuyer de la sorte. Partant d’une pulsion fantasmatique rigolote, maintenant j’ai l’air maline. Pas de sensations démesurées dans cette pose trouble. Pourtant, elle se met à onduler du bassin, comme pour répondre à cette étrange caresse, je reste en place. Je sens qu’elle a trouvé la bonne position, rapproché mon bassin ...
... de son visage en prenant mes fesses à pleines mains, puis elle s’occupe de mon clitoris, elle le pompe, l’aspire, l’étire de mouvements de succion qui happent en même temps mes nymphes. Ses deux mains sont maintenant affairées à écarter les poils importuns. Je laisse ce sein peser de mon poids et maintenir son téton au chaud. Ses mouvements du bassin sont forts et rythmés. Sans me soulever, chaque impulsion écrase mon sein, l’aplatit encore. Les poils me chatouillent le bord de l’aréole, sur le moment ça me fait plutôt rire que jouir, c’est très gai ; je ne peux pas m’empêcher : — Hi, hi : il y a plein de poils qui me chatouillent ! Elle interrompt son œuvre pour sortir : — Tu peux parler ! Nous sommes prises alors d’un immense fou rire, les frénétiques convulsions des corps s’évertuant à nous faire perdre la position. Mais, dans un jeu érotique que je trouve incandescent, nous nous évertuons à reprendre à l’identique les caresses interrompues, comme si une impérieuse nécessité supérieure devaient dompter les tressautements des rires qui se poursuivent longtemps. Le calme revenu, je commence à me liquéfier. Il fait maintenant presque noir dans la chambre et je ne vois pas grand chose. D’une main, me contorsionnant un peu, je glisse mes doigts sur son mont, puis j’atteins son clitoris de mon index et commence à la caresser ainsi. *** Plus tard, épuisées et repues, nos visages sont à se toucher. Ils sont mouillés de nos jouissances respectives, caressés par nos souffles lents, ...