Solène 01- La découverte
Datte: 27/04/2020,
Catégories:
fh,
fplusag,
jeunes,
couple,
profélève,
école,
volupté,
Voyeur / Exhib / Nudisme
intermast,
Oral
init,
Je suis le troisième garçon d’une famille composée de cinq frères. Nous étions dans les années 50 et habitions un petit village, où ma mère et mon père travaillaient dur pour nous élever. Le jeudi jour sans école dans ce temps là, il nous fallait faire des travaux au jardin à la belle saison ou en forêt en fin d’hiver pour y couper le bois qui alimentait le fourneau qui faisait office de cuisinière et assurait aussi le chauffage ; nous étions heureux d’être ensemble, entre frères, mon père disait que cela nous développerait physiquement de pratiquer ces travaux que je n’appréciai guère. Ainsi toute mon enfance s’est passée à vivre entre les garçons, car le contact avec les filles à l’école était très épistolaire, occupés que nous étions à jouer entre nous. Je m’adonnais au bricolage et étais souvent l’auteur d’inventions que nous concevions avec mes frères. Découvrant ma passion, mon père envisagea de me mettre en pension dans une école professionnelle dans la grande ville voisine, juste l’année où l’on passe le« certificat d’études »à l’école primaire. Admis sans problème, me voici donc pensionnaire dans un lycée technique où règne une discipline de fer, avec pour seule distraction la sortie une fois par mois à la maison, et les autres dimanches la possibilité d’aller en ville si un correspondant veut bien venir nous chercher à l’école même et l’après–midi seulement ; mon père trouva le fils d’un ami qui aidait ses parents dans un commerce de la ville ; c’est lui Emile ...
... qui fût désigné pour venir me donner un après-midi de liberté chaque dimanche, mais attention retour impératif pour 18 heures car au-delà c’était la « colle » assurée pour le dimanche suivant. Pour fréquenter cette école, on dut me faire un costume sur mesure bleu marine, avec les traditionnels boutons dorés, la redingote assortie pour l’hiver, chez le couturier attitré du lycée. Il va sans dire que le port de cet uniforme et de la casquette assortie était obligatoire pour sortir de l’établissement. L’ensemble du personnel du lycée était essentiellement masculin, et pendant toutes ces années de dur d’apprentissage, nous n’avons pas eu de contact avec la gent féminine, et comme je n’en avais n’eu guère avant, disons que je ne connaissais rien de femmes. Le soir, seul dans mon lit, je les voyais comme un mythe inaccessible qui me faisait rêver, et le directeur misogyne nous évitait tout contact avec du personnel féminin qu’il se gardait d’employer. Si, pourtant en terminale on nous octroya une jeune professeur d’histoire pour une heure par semaine. Alors au dortoir le soir, cette femme vint alimenter nos fantasmes jusque là basés sur des souvenirs fugaces des belles filles aperçues dans la rue les soirs d’été, ou dans des magazines que nous apportaient les externes en cachette des surveillants. Les commentaires allaient bon train en récréation, surtout ceux de nos camarades marseillais qui eux avaient vu mieux dans leur bonne ville, mais surtout qu’ils avaient déjà une solide ...