Solène 01- La découverte
Datte: 27/04/2020,
Catégories:
fh,
fplusag,
jeunes,
couple,
profélève,
école,
volupté,
Voyeur / Exhib / Nudisme
intermast,
Oral
init,
... mariée et qui habite dans le quartier du lycée voulait bien me prendre en charge le dimanche. Sa mère nous fit part des déboires du mari de sa fille qui passionné de rugby, avait sur un mauvais placage dut être opéré du « bas-ventre »et qu’il était en voie de guérison. En outre le pronostic n’était pas bon en ce sens qu’il aurait du mal à accomplir son devoir conjugal. Mais étant membre du bureau du club de rugby, il passait tous ses dimanches après-midi sur le stade comme arbitre et organisateur de la troisième mi-temps. Je mis le nez dans mon assiette en entendant cela, puis une douce chaleur m’envahit en pensant que je pourrais rencontrer à nouveau leur jolie fille, et qui sait, peut-être l’embrasser, moi qui allant sur mes 18 ans, ne connaissait rien des filles. Le dimanche suivant, j’étais tout émoustillé lorsque le surveillant vint m’avertir que ce sera Mlle Solène sœur d’Emile qui sera autorisée à me « sortir », comme ses parents en avaient averti la direction du lycée dans la semaine. Lorsque vers 13 heures l’on m’appelle, les quolibets de mes camarades qui m’entourent me font honte, à la vue d’une superbe fille aux cheveux couleur noir remontés en ’’choucroute’’, en manteau sombre de bonne coupe évasé vers le bas, juchée sur des souliers à talons hauts, à la démarche ondoyante, venir auprès de moi et me conduit vers la sortie. Elle-même très gênée, s’arrête peu après sur le trottoir désert, le long du mur longeant le pensionnat et me prenant par l’épaule m’embrasse ...
... quatre fois sur les joues en y déposant du rouge à lèvres ce dont elle s’excuse. Elle m’avoue qu’elle-même n’a pas osé m’embrasser devant mes camarades de peur de leurs quolibets. Je la complimente sur son élégance, son superbe manteau et son bon goût du choix de son parfum que j’adore. Elle est très flattée et me dit qu’elle est fière de se promener avec un aussi beau jeune homme qui me dit-elle, la fait rajeunir de dix ans. On marche ainsi un demi kilomètre main dans la main pour atteindre son pavillon ; la porte s’ouvre et c’est son mari Lucien, qui me salue, me disant avec un air moqueur : ah ! Vous êtes le beau militaire dont m’a entretenu ma femme et ma belle-mère ? Je suis en effet revêtu d’un uniforme et d’une casquette obligatoires dans ce lycée de garçons, genre tenue militaire russe que nous étions obligés de porter malgré nous, pour sortir en ville. Venez prendre le café me dit-il, car je dois vous quitter pour me rendre au club où l’on m’attend pour un training d’avant match. Solène sera heureuse d’avoir de la compagnie cet après-midi ; si vous voulez bien lui aider à terminer les rideaux de la chambre, vous qui êtes bon bricoleur paraît-il et mettre en œuvre ce que vous apprenez au lycée technique ! Sur ce, il nous laisse seuls, et reposant ma tasse sur la table basse du salon Solène vient s’asseoir en face de moi dans un profond fauteuil ; elle croise et décroise ses longues jambes dans le doux bruissement du frottement de ses bas, laissant apparaître la partie ...