1. LE TESTAMENT D’UN SOLDAT INCONNU.


    Datte: 28/04/2020, Catégories: Entre-nous, Hétéro

    ... étions enfants de cœurs car je pense qu’ils sont trop vieux et se sont pardonnés d’eux même. Je vous parlerai des choses à partir de la veille de mon mariage où j’ai été aux putes avec mes copains pour enterrer ma vie de garçon. Nous avions été à la ville que vous connaissez bien, car un jour nous vous avons vu sortir de la petite rue que quand nous étions adolescents nous avons aimé aller perdre notre pucelage. Loin de moi l’idée que vous aussi vous avez été voir ces demoiselles pour faire la chose mais vous aviez certainement une âme perdue à aller sauver comme la petite Marguerite la fille de Gertrude qui avait fini par tomber dans les pattes du beau Mario connu pour avoir cinq gagneuses dans ce secteur. C’est d’ailleurs avec elle que j’ai forniqué ce soir-là, j’aime beaucoup ses dix-huit ans surtout que Jacqueline que je vais épouser est une vieille de vingt ans du moins dans les huit jour suivant celui ou devant vous elle va me dire oui, pardon qu’elle m’a dit oui et moi aussi. Marguerite a été contente de me voir car nous nous connaissions et j’ai même été surpris qu’elle m’avoue avoir eu le béguin pour moi avant de rencontrer le beau Mario et que si elle avait tourné à la femme respectable elle aurait aimé que je lui fasse pondre une chié de gosse car elle les aime beaucoup. J’ai failli lui proposer de partir avec moi surtout après qu’elle m’est sucée et avalée tout mon sperme car Jacqueline me suce mais refuse d’avaler le mien de sperme. Mais Marguerite m’a dit que ...
    ... le bellâtre de Mario lui a dit que si elle partait avec un autre il le surinerait et qu’elle elle serait défigurée même s’il perdait du pognon. Alors maintenant que le prochain obus où la baïonnette d’un allemand montant à l’assaut comme nous on y monte sera peut-être pour moi, je regrette de l’avoir laissé dans sa petite rue car c’était une sacrée baiseuse. Vous voyez monsieur le curé j’ai eu des pensées impures qui méritent pénitences et toi Jacqueline excusez-moi d’en avoir eu pour une autre, mais j’avais de quoi en avoir quand j’ai vu ce que j’ai vu le soir de nos noces. Alors que nous étions à la salle des fêtes pour le repas, toi Jacqueline avec ta robe blanche de ta pureté car tu m’avais toujours refusé de baiser avant cette nuit de noces maudite alors que j’avais trop bu, je me suis réveillé et pendant trois quart d’heure je t’ai vu te faire baiser par Lucien mon copain et témoin. C’était à l’étage dans la petite salle permettant de ranger les tables que je t’ai vu ta robe relever ta petite culotte qu’il t’avait mise dans ta bouche pour éviter de ce que tu fasses du bruit sachant certainement que tu hurles chaque fois que mon sexe entre en toi et que ce jour-là je devais éviter de t’entendre. Quand je t’ai fait l’amour le lendemain tu as crié si fort que j’ai compris que s’il t’avait muselé c’est qu’il savait que tu hurlais et que vous étiez amant depuis longtemps. Monsieur le curé, est-ce péché que d’avoir regardé Lucien la faire mettre en levrette sur la table et ...