Journal d'une pucelle provisoire
Datte: 28/04/2020,
Catégories:
Première fois
... soulevait du lit. Je l'ai clairement entendue dire "fuck me ! fuck me hard !". Ses gros nichons ballotaient à chaque coup de boutoir de Peter et elle lui renvoyait la balle en s'accrochant aux barreaux du lit derrière elle. Au terme de fougueux va et vient, il s'est vidé d'un coup et j'ai pu voir les dernière giclées de son sperme inonder le ventre blanc de Debbie. Je suis descendue très vite de l'escabeau, complètement chamboulée, les jambes en coton. En entrant dans ma chambre, je me suis aperçue que j'avais non seulement mouillé ma culotte mais aussi mon pantalon. Un mélange d'urine et d'autre chose... J'ai attendu qu'ils aient pris leur douche pour y aller à mon tour. Un peu embarrassée, je l'avoue, mais ils étaient passés dans le jardin pour fumer une cigarette comme après un besoin naturel. Tout l'après-midi, j'ai repensé à cette scène. Je suis devenue une voyeuse et pire, une voyeuse accro. Je ne me sens pas très bien... Jeudi 11 juillet Peter a quitté la maison depuis une semaine. J'ai appris qu'il travaille sur une plateforme pétrolière off shore et ça peut expliquer la frénésie sexuelle du couple dans les périodes où il est présent. Du coup, je souffle un peu. Plus tentée d'aller jouer les voyeuses dans le cellier, et pour cause. Avec Debbie, nos relations sont devenues plus intimes. Elle se balade à poil devant moi comme si j'étais naturiste. Mais je ne vais pas m'aligner. Trop pudique, ou pas assez libérée, comme ou voudra. Mon milieu ne m'a pas préparé à ça et ...
... mon lycée encore moins. Quand je pense à notre éducation sexuelle, je rigole. Deux ou trois vagues dépliants, sans commentaires. A voir la giclée de sperme de Peter, on comprend parfaitement ce qu'est l'éjaculation masculine. Et quand je revois Debbie rassembler le sperme étalé sur son ventre, le mettre sur ses doigts et s'en lécher les babines, alors je me dis que la semence a d'autres usages que la fonction reproductive. J'avoue que tout cela me laisse à penser. Surtout le soir dans mon lit. Je revois la bouche de Debbie remplie par le membre viril de Peter, sa langue titiller le gland, sa main lui presser les testicules et j'en conclus qu'on peut faire l'amour autrement que par la pénétration. Mais je revois aussi le sexe de Peter coulisser dans celui de Debbie avec la régularité d'un métronome, entrer et sortir, sortir et entrer, et provoquer à chaque fois des exclamations de Debbie. Ce corps sec, tatoué et pointu du mâle qui besogne cet autre corps charnu, laiteux et ouvert de femelle dans un contraste saisissant, ça me met dans tous mes états. Je me masturbe désormais tous les soirs en repensant à ces scènes de luxure. J'en rêve la nuit et je me réveille avec un mal au bas ventre. Je dois faire une drôle de tête au breakfast car Debbie me demande si je ne suis pas malade... Je commence à mieux parler avec elle. Elle se débrouille en français, ce qui facilite un peu la communication, mais je m'efforce d'échanger dans sa langue. Elle m'a demandé si j'ai un "boy friend" et ...