Berlin
Datte: 28/04/2020,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Masturbation
Lesbienne
... l’arrière pas entièrement fermée, dévoilant la naissance de ses fesses. En regardant mieux l’homme, dans sa main, il tient une longue planchette en bois et son pantalon, troué à l’arrière, dévoile ses fesses nues et salement rougies. Au coin de la rue, il se penche en avant et se fait fesser encore durement avec sa planchette de bois par sa compagne. Irréelle scène qui se passe à quelques mètres de moi. Je l’avoue, si je suis surprise, je mouille comme une fontaine. Là, il me faut un plombier et de toute urgence pour boucher ma fuite de mouille. Dans une vitrine, on n’hésite même pas à montrer comme on pose des piercings sur les seins, le nez et même sur le sexe et tout ça au grand jour. J’y vois un pénis se faisant percer le gland et un vagin portant une multitude de lourds anneaux. Je frissonne en imaginant la douleur ressentie. Pourtant, je ne frissonne pas que de peur, je peux en jurer, mais aussi d’une plaisir que je découvre là, en pleine rue.Pour le moment, moi, je suis qu''oie blanche mal dégrossie, encore en Jean’s et teeshirt, pensant que ce genre de vêtement sexy ne sont destinés qu’à une classe de bourgeois à gros, voire très gros revenu. J’ajoute que mes connaissances en matière de sexe étaient des plus basiques, pour ne pas dire rudimentaires. Dans ma tête, quelque chose me dit que cela pourrait bien changer ces jours prochains. Pourtant, je suis revenue devant la première vitrine. Telle une fillette devant la dernière Barbie, je bave devant ce corset et cette ...
... paire de chaussure terriblement sexy et au talon aiguille taille XXXL. Je résiste le plus possible. Mais voilà, j’ai fini par lâchement craquer devant ce corset. Je suis entrée, n’y tenant plus. Encore une remarque que je me suis faite avant d’entrer dans cette boutique, je n’ai croisé aucun cinéma porno, zéro, que dalle. Pas un dans tout ce quartier, même pas un de ces théâtre de cul comme on en voit à Hambourg, pas une prostituée, rien de tout ça je ne l’ai vu. Une fois à l’intérieur, c’est la caverne d’Ali Baba. Mes yeux ne savent plus où regarder, mains que palper.Je m’adresse aussitôt à la première vendeuse venue, je lui demande sur le champ à voir ce corset splendide et cette magnifique paire de talon aiguille en les lui montrant dans sa vitrine. Je piaffe déjà d’impatience. Le tissu dans mes mains, j’en mouille encore ma culotte en me l’imaginant sur moi. Ce merveilleux frisson qui parcoure mon corps me retourne les sens. Je demande à pouvoir l’essayer sans trop y croire, la vendeuse fait appel à une collègue, apparemment plus qualifiée qu’elle en l’appelant par son prénom, Béa. Cette jolie jeune femme m’entraine derrière un rideau, près d’une rangée de trois cabines. Elle m’aide à retirer mes fringues. En petite culotte, je n’éprouve, bizarrement, aucune gêne devant elle. Surtout pas quand elle me pose le corset. Ce tissu tout contre ma peau, mes seins, ça me met presque sur orbite. Je crois jouir quand les mains de Béa ajustent mon corset en touchant délicatement ma ...