1. Ma belle fille m'a séduite 1


    Datte: 28/09/2017, Catégories: ff, fplusag, fagée, frousses, alliance, BDSM / Fétichisme intermast, Oral ecriv_f,

    Je me présente : Julie 72ans, 1m70, 59 kilos, 95 C, veuve depuis 30 ans, soit 10 ans après la naissance de mon fils. Mon mari buvait beaucoup, il nous tapait, mon fils et moi, c’est vous dire si sa mort ne m’a pas chagrinée. Par contre, il m’a dégoûté des hommes, et rapproché des femmes, je n’ai donc plus eu depuis que des aventures féminines. Les années ont passé et mon fils a fini par se marier (à 30 ans il était temps), sa fiancée m’a plu tout de suite, tout d’abord parce qu’elle est très mignonne avec ses cheveux roux, ses grands yeux bleus, et son 95D, et ensuite parce qu’elle se foutait que je sois lesbienne. Donc, en 1989, mon fils Alain (30 ans) épouse Marjorie (25 ans), ils me donnaient une paire de petits-fils 4 ans plus tard. Mais, hélas, mon fils marchait sur les pas de son père, bref le divorce après 6 ans de mariage et les enfants ballottés de gauche a droite. Un vendredi de septembre 2004, comme à l’accoutumée, Marjorie me déposa les enfants, mais cette fois là, elle passa deux heures plus tôt. Etant donné qu’elle a les clefs de chez moi, elle entra, et mit les jumeaux devant la télé puis monta à l’étage. Elle entendit du bruit dans ma chambre, elle entra et se figea en voyant le spectacle : J’étais sur mon lit, nue avec trois doigts dans la chatte, les yeux fermés, et ma main gauche triturait mes tétons, excitée par un texte lu sur votre site qui m’avait donné une envie folle de jouir (J’ai toujours aimé le sexe, même encore maintenant). Bref, ma belle fille ...
    ... m’avait vue mastiquer de belle manière, et avait décidé que je serais à son tableau de chasse, mais ça, je ne le sus que plus tard car, trop occupée à me faire reluire, je ne la vis pas. Depuis ce jour, ma belle fille se fit encore plus douce et gentille avec moi, j’eus droit à toute la panoplie de la séduction, bouquets de fleurs, petits dîners, tenues sexy, et tout et tout. Je ne compris pas de suite son manège. Un soir où nous avions dîné et bu un peu trop toutes les deux, je lui demandai par jeu : « Dis donc Marjorie, tu me dragues ou quoi, ça fait un mois que tu me chouchoutes, que tu m’offres à dîner dans des restos 3 étoiles, que tu t’habilles très sexe pour me montrer tes jolies jambes et tes grosses doudounes ? » Je pensais avoir comme réponse un « T’es folle ! ». Et bien non, la réponse fut un grand « OUI je t’aime et je te veux ». Elle se leva et colla ses lèvres aux miennes, sa langue força le passage de mes dents pour happer la mienne, ses mains caressaient mes seins, elle ouvrit mon corsage et sa tête descendit pour me sucer les seins au travers de mon soutien-gorge. Je lui dis d’arrêter, que j’avais 72 ans et elle 40, qu’elle était ma belle fille, que c’était de la folie. Pour toute réponse, elle ouvrit son tailleur (elle ne portait pas de soutien) et me dit : « Ose me dire que tu ne les aimes pas, que tu ne veux pas les caresser, que … ». Elle ne put pas finir sa phrase, ma bouche se plaqua à la sienne pour une pelle d’enfer. Nous roulâmes sur le tapis, je lui ...
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