1. Ma belle fille m'a séduite 1


    Datte: 28/09/2017, Catégories: ff, fplusag, fagée, frousses, alliance, BDSM / Fétichisme intermast, Oral ecriv_f,

    ... suçais les seins, les mordillais, les léchais, je ne pouvais plus m’arrêter, j’étais déchaînée, je lui bouffais littéralement les seins, à un moment je sentis son corps se raidir, des râles sortirent de sa bouche, des allaitements, des « Oui, oui, oui » en cascade, ses ongles rentrèrent dans mes épaules, elle avait joui des seins, 30 ans que je suis lesbienne, et c’est la première fois qu’une femme jouit des seins sous ma langue, je pris la tête de mon amante dans les mains et l’embrassai avec fougue. Je lui avouai que cela faisait 15 ans, que je rêvais de lui caresser les seins, que je m’étais branlée des dizaines de fois en y pensant, et que, quand elle faisait du monokini, ma chatte ruisselait comme une fontaine. Après s’être remise de ces émotions, elle me dit : « A ton tour de jouir maman Julie » Elle m’enleva mon chemisier et mon soutien, elle me malaxa les seins, sa bouche se rapprocha de mes tétons dressés comme deux petites bittes, son souffle était chaud ce qui fit durcir encore plus mes tétons, elle les goba, sa langue tournait autour de mes deux petits obus. Ses mains ne restaient pas inactives. Elle défit ma jupe qui tomba sur le sol, elle voulut me retirer ma culotte mais, à sa grande surprise, je n’en portais pas (je n’en porte jamais sous une jupe moulante, juste des bas auto-fixant), j’eus droit à un : « Petite cochonne, toujours prête à faire l’amour hein ! Tu m’excites encore plus comme ça, tu es belle, je vais te bouffer la chatte belle maman, boire tout ...
    ... ton jus d’amour». Sa langue léchait mon ventre, puis jouait dans mes poils, j’écartai les jambes par automatisme, sa langue entra dans le sillon intime de mon sexe et alla à la rencontre de mon bouton rose. Elle le lapa avec force, le suça comme si sa vie en dépendait, elle planta deux doigts dans ma chatte et les fis aller et venir dans mes entrailles. Les mains plantées dans sa chevelure rousse, je riais mon plaisir, debout sur mes jambes tremblantes. Je lui dis de continuer de me bouffer la chatte, de continuer de me mettre un doigt dans le cul (ce quelle fit). Je lui dis que j’étais une veille salope impudique, je tremblais de plus en plus sur mes jambes et, après 10 minutes à ce régime, je jouis dans sa bouche à grand flot. Terrassée par ma jouissance, je tombai par terre. Haletante et fébrile je l’attirai vers moi et nos bouches se soudèrent encore une fois dans un baiser torride mêlé de salive et de ma mouille. Je lui dis que j’avais honte, que je n’étais qu’une veille salope de lesbienne. Elle prit ma tête entre ses mains et me dit : « Salope tout comme moi, Julie, mais vieille « NON », ta peau est douce, tes seins sont fermes et, si cela ne fait qu’un mois que j’ai décidé de passer à l’acte, cela fait longtemps que j’ai envie de coucher avec une femme. Mais, la seule qui me plaisait, c’était toi. Je suis prête, tout mon amour est pour toi, je veux que tu me fasses jouir, et je veux te faire jouir aussi, que tu m’apprennes tous les plaisirs saphiques ». Je lui répondis ...