1. En visite chez Lydia


    Datte: 29/09/2017, Catégories: fhhh, fplusag, fagée, grossexe, vacances, campagne, volupté, odeurs, Oral pénétratio, fsodo,

    ... problème, il gémit et nous dit : — Je voulais aller pisser quand cela m’a pris, mais je ne peux plus bouger. Lydia qui a toujours une solution à tout problème annonce : — Attendez un moment Monsieur le Curé, je vais chez moi, Mon époux avait des problèmes pendant la nuit avant de décéder et nous avions une cruche exprès pour ça. Elle revient avec une cruche médicale faite pour quand on ne peut pas se lever. Là, elle met la main dans le pyjama du curé et sort son outil et le place dans la cruche pour qu’il puisse se vider. Ouf, il était moins une, c’est le déluge Il faut dire que la mentule du curé a fait ouvrir grand les yeux de mes gourmandes. Un engin impressionnant, même si c’est grâce à l’urine qu’il est surtout impressionnant. C’est vraiment du gaspillage pour la gente féminine, surtout la bonne qui se dit qu’il fallait cet incident pour allumer ses ardeurs canoniques. Après avoir vidanger, Lydia qui a garder la main sur l’objet du délit remarque que l’oiseau est entrain de prendre son envole et qu’il grandit, grandit. — Oh ! Monsieur le Curé !— Excusez-moi, si l’esprit est fort, la chair est faible mais la trique elle, elle est impitoyable. Là-dessus, la servante bouscule Lydia et reprend les choses en main. Excusez- moi, mais ceci fait partie de mes attributions. Sans transition, elle gobe la trique pour lui tirer son jus. Elle sait y faire la Marie. Tant et si bien que finalement le Curé se paie une double vidange. Je ne sais si le traitement était prévu par ...
    ... Escupale, mais la décontraction, amenée par l’évacuation d’un jus trop longtemps retenu, porte ses fruits et notre brave curé semble retrouver le moral à défaut de la morale. Le lombago s’est envolé, miracle. Je sens que mes deux commères sont toutes retournées de ce spectacle qui semble les mettre en appétit, mais avec Albert, on estime que cela suffit pour aujourd’hui. Après tout ces dévergondages, nous rentrons au mas dans la 2 bœufs qui nous trinqueballe tant bien que mal à destination. Ah quelle journée, si je pouvais m’imaginer cela, dit Albert, qui n’est pas une grenouille de bénitier — C’était impressionnant avec Monsieur le Curé dit cette fine mouche de Mélanie chez qui on sent une pointe de regret.— Bof, la grosseur ne fait pas tout, cependant, je dois reconnaître que je changerais bien la mienne contre la sienne. La dernière fois que j’en ai vu une comme ça, c’était quand l’âne montait l’ânesse.— Quand on dit que les voies du seigneur sont impénétrables, je pense que son serviteur pourrait bien pénétrer dans ma voie, me dit Lydia qui n’en revenait toujours pas. Je crois qu’Albert n’a plus de soucis à se faire pour pouvoir se distraire de temps en temps et je pense que Lydia souffrira moins de la solitude maintenant, mais peut-être de la sollicitude. Enfin le soir arrive et ma Mélanie me dit : ce soir couche avec moi, j’ai envie d’être un peu tranquille après les excès de cette nuit. Je rêve ! Me dire de me coucher avec et rester tranquille, c’est le supplice de Tantale. En ...
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