En visite chez Lydia
Datte: 29/09/2017,
Catégories:
fhhh,
fplusag,
fagée,
grossexe,
vacances,
campagne,
volupté,
odeurs,
Oral
pénétratio,
fsodo,
Lors du dernier épisode, nous étions arrivé à Perpignan où le frère cadet de Mélanie nous attendait. Après avoir chargé les bagages dans sa vieille deux bœufs, cahin-caha, nous sommes arrivé au Mas. Une magnifique construction de style provençale avec de très belles pierres de taille et des façades fleuries de vigne vierge. Albert, son frère, nous attribue les chambres sur le même palier. Je reçois une belle chambre toute en bois travaillé et un lit de type fatigué qui tient plus du hamac que d’un bon lit type Bico. (Je fais un peu de réclame pour une marque suisse où selon le propriétaire on peut bénéficier d’un sommeil long et profond, grâce à ses poils de chameaux parait-il) Je fais une petite sieste et tombe cependant dans un sommeil réparateur. Ce n’est pas tout à fait l’Hilton, les toilettes juste sur l’écurie et la salle de bain se résume à un tube. Enfin, à la guerre comme à la guerre. Après les ablutions rituelles, le ventre creux, je me dirige vers ce que je pense la cuisine car on y rit bien fort et je reconnais la voix et les rires de ma chère Mélanie. Je frappe et je rentre dans une vaste pièces où je vois Albert rouge comme une tomate et ma douce entrain de remettre de l’ordre dans sa tenue. Aie ! Je pense que je vais avoir de la peine à passer la porte, les andouillers doivent frotter sur les montants. Quelle santé elle a l’octogénaire, depuis que j’ai débourrée. L’air de rien, je demande s’il est possible de se mettre quelque chose sous la dent, question de ...
... détendre l’atmosphère. L’air du Sud m’ayant creusé l’appétit. Sautant sur l’occasion, on s’empresse de m’emmener vers ce qui est vraiment la cuisine. Là, un bon petit déjeuner à la française m’attend avec des bonnes baguettes de pain frais, du beurre maison et une confiture de derrière les fagots. Un bon café brûlant. Un régal quoi, surtout quand on est affamé. L’après-midi, notre cher Albert, va au marché des moutons pour vendre quelques exemplaires, dont un bouc qui pue vraiment le bouc. C’est tout une affaire de charger ces bestioles dans la 2 bœufs. Enfin, nous sommes seuls avec mon trésor. Je prends un air sérieux en attendant des explications. Elles ne viennent pas et un silence gêné s’installe entre nous. — Explique ! Lui demandais-je, je ne comprends pas. Tout en me grattant la tête où normalement pousse les andouillers.— C’est de l’histoire ancienne, nous étions très proches avec mon frère et il s’est permis certaines privautés qui m’ont surprises et depuis que tu as réveillé mon tiroir à guignols, je me contrôle moins bien. J’ai eu de la peine à résister à son charme.— Charme mon cul ! C’est dégueulasse ce que tu me fais ! Toi qui faisais les prudes, tu n’es pas mal dans le genre.— Pardonne moi, je ferai tout ce que tu veux pour me faire pardonner. Me supplie-t-elle.— Bon, je vais réfléchir, mais tout d’abord, allons dans ta chambre pour voir tes bonnes dispositions.— Tu es un amour compréhensif. Là, sans trop de détour, je lui mets la main dans la culotte et je ...