1. Sophie et Laurence (2)


    Datte: 03/05/2020, Catégories: Lesbienne

    Maman rentra du boulot, elle serra très fort Sophie contre elle. Il faut dire que maman l’adore, car depuis que nous sommes ensemble, ma vie a changé. Plus de fréquentations douteuses, avec lesquelles je passais mes soirées et weekends. A présent, il s’agissait uniquement de gens tranquilles, sans zones troubles. “Bonjour ma chérie tu vas bien ? Oh oui, je pense que ça va bien, vous n’avez pas attendu d’être rentrées, petites impatientes ! “ Et là, maman brandit le string qui dépassait de la poche de Sophie, et le fit tourner devant nos visages, qui virèrent au rouge, nous qui n’étions pas vraiment gênées d’habitude devant maman. Mais là, ma mère, avec à la main mon string tout trempé, nous nous sentions un peu bébête, elle l’enfouit dans sa poche. “Je vais faire une lessive, alors si tu as des trucs à laver Sophie, donne-les-moi, je lance la machine, et vous vous en occuperez quand elle sera finie. Ce soir ton père et moi allons manger chez Christine, et nous dormirons là-bas. Elle arrose sa promo, et l’alcool va couler à flots, pas la peine de prendre des risques inutiles… et comme cela, vous serez tranquilles toutes les deux.” Je servis trois mojitos au bord de la piscine. J’étais en compagnie de Max, le berger allemand confié par un voisin, parti définitivement travailler sur une plateforme pétrolière, en mer du Nord. Il avait vendu sa maison, et fut très heureux que mes parents aient accepté un nouveau membre dans la famille. Il savait que j’allais le chouchouter, mais ...
    ... ni lui ni moi, n’imaginions encore à quel point ! “Alors le voilà, ton nouveau doudou qui passe ses nuits avec toi ! Oh, mais oui, t’es beau Max! Oui, viens, oui, ah doucement, hi hi hi ! “ Sophie le caressa, et fit connaissance avec ce beau mâle de cinq ans à poils longs, qui très affectueusement lui lécha les mains, le nez et alla fourrer sa truffe entre les cuisses de ma belle, encore parfumées de nos ébats. Elle le repoussa gentiment en riant, il vint vers moi et me lécha directement la chatte, nue sous ma mini-jupe trop courte. Je sentis mon minou couler instantanément et mis quelques secondes à le repousser : “Hé, mais ma parole tu le laisses faire ? — Mais non idiote, j’avais un verre et la bouteille en main, je n’ai pas voulu renverser, c’est tout ! Allez ça va, ce n’est qu’un chien, et si tu ne m’avais pas sauté dessus en voiture, il n’aurait pas reniflé notre excitation ! Oui mais moi je ne l’ai pas laissé faire, toi si grosse coquine ! “ Et nous partîmes dans un fou rire. Maman vint trinquer avec nous ; puis papa arriva, et après s’être changés et préparés pour la soirée, ils nous embrassèrent en partant, non sans la petite vanne de papa. “ Ah, Sophie nous t’avons préparé la chambre d’amis… Mais oui c’est ça, et moi je téléphone à Christine pour vous installer dans des chambres séparées ! Bonne nuit les coquines ! “ Papa ferma le portail derrière eux et démarra. “Santé ! Mon amour, nous avons la maison rien que pour nous toute la nuit. Tes parents sont trop cool ! ...
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