1. Sophie et Laurence (2)


    Datte: 03/05/2020, Catégories: Lesbienne

    ... son désir au sommet de ce qui était supportable, je décidai de la “tuer”. Je saisis la pointe toute durcie d’un sein que je pinçai et tournai entre mes doigts, mon autre main lui rentra trois doigts dans son vagin dégoulinant de cyprine, tandis que ma bouche se déchainait sur son bouton d’amour. Et après quelques secondes de ce traitement que j’intensifiais, les halètements et les tremblements de tout son corps allaient crescendo. Je sentis, de mes mains et ma bouche, les vibrations d’un orgasme libérateur d’une force dingue, tant attendu par tout le corps de ma femme. Elle lâcha un long cri strident, qui se transforma lentement en un feulement de panthère en chaleur ; elle mit un temps fou à retomber enfin, dévastée et inerte, complètement achevée par cet orgasme tueur ! Je pris par la taille son corps complètement abandonné, presque désarticulé, et le fit glisser dans l’eau jusqu’au cou en l’enlaçant, nous plaquant l’une contre l’autre. Doucement elle retrouva ses esprits, mis ses yeux dans les miens, ses mains prirent tendrement mon visage pour de douces caresses, et nos bouches s’abandonnèrent dans un profond baiser, chargé de tout l’amour qu’il y avait entre nous. Après quelques “sous-l’eau” pour se détendre, nous sortîmes de la piscine, Sophie se sécha et s’allongea sur un transat, tandis que j’allais chercher un plateau : “Remplis les verres, chérie, je ramène à manger. “ De retour les bras chargés d’un plateau de bonnes petites choses à grignoter, et d’une bouteille ...
    ... de rosé, je rejoignis ma chérie, assise en tailleur sur le lit d’été, posai le plateau devant elle et pris la même position, elle me tendit mon apéro : “Santé mon amour je t’aimerai toujours ! Santé Bébé, moi pour l’éternité, dis-moi, tu m’as bien fais languir tout à l’heure hein ! Alors profite tranquillement de ton repas, car après je vais te faire regretter de m’avoir torturée, tu vas “mourir” Bébé. Hum, bla bla bla, que des promesses, chérie !” Après avoir avalé quelques bricoles et largement fait honneur à la bouteille de rosé, Sophie la prit, ainsi que son verre, et me tendit le tout. nqfnvvda “Viens, mon amour, allons dans la chambre d’amis, allonge-toi j’arrive tout de suite, et pose mon verre et la bouteille sur la petite commode à côté du lit. “ Deux minutes après m’être allongée, ma chérie fit son entrée avec un sac à la main, d’où elle sortit un foulard rouge, qu’elle noua devant mes yeux : “Oh, tu me sors le grand jeu mon amour mais heu. . C’est ce que je pense, oh oui, des menottes ! Je comprends mieux maintenant, pourquoi la chambre d’amis : c’est le seul lit de la maison à posséder des barreaux ! Oui ma chérie, et ce n’est pas fini. “ Après les mains, ce fut le tour des chevilles, menottées aux barreaux du lit, bras écartés et cuisses largement ouvertes, dévoilant l’intimité profonde de mon coquillage. J’étais à la merci de ma chérie, qui prenait tout son temps. Au bruit, je devinais qu’elle prenait une gorgée de vin, puis je sentis quelque chose de très doux, ...