1. Christine


    Datte: 03/05/2020, Catégories: fh, jeunes, voisins, copains, bain, forêt, campagne, noculotte, Oral fsodo,

    ... testicules. En quelques minutes, elle augmente la cadence, me faisant jouir de nouveau à en perdre haleine. Rien n’est perdu, et ses douces caresses accompagnent ma douce convalescence. Lorsque ma queue est enfin redevenue flasque, elle l’abandonne sur mon pubis et vient m’embrasser tendrement. — Oh, toi ! s’exclame-t-elle.— Non. Toi ! fais-je en souriant.— Sache, bel étalon, qu’il y a trois choses que j’affectionne tout particulièrement : le goût de ton sperme et la sodomie.— Ça n’en fait que deux. Quelle est la troisième ?— Ta quéquette de compète ! répond-elle en la secouant dans les airs.— Attention, tu vas la réveiller, et après…— J’en assume les responsabilités. L’après-midi s’est prolongé à nous découvrir et à nous aimer. Nous sommes rentrés assez tard, bras dessus, bras dessous, nous embrassant tous les quelques pas, jusqu’au moment douloureux de nous séparer. J’avais le cœur léger, le sexe aussi, puisqu’une seule pensée le faisait décoller. Et des pensées… nous étions convenus de nous retrouver dès le lendemain en début d’après-midi au bord de la rivière. Il y avait un endroit paisible près d’un grand trou d’eau claire où je venais très souvent pêcher seul, ou encore me retrouver un peu au calme. Nous étions en vacances, et avions vraiment du temps. À la rentrée, je partirais pour l’université, et je voulais mettre mes congés à profit. Lorsqu’elle arrive, seulement vêtue d’une robe d’été assez courte et d’un chapeau de paille, mon cœur s’emballe, je la serre fort ...
    ... contre moi, violant sa bouche avec passion. Mes mains passent sous sa robe et retrouvent la douceur de sa peau, ses hanches et ses fesses libres de tout sous-vêtement. Je tombe à ses pieds sur la couverture que j’avais déjà installée, et plonge mon visage dans ses poils pubiens pour retrouver son odeur, sous l’escorte de ses mains posées sur ma tête. Ma langue part à l’assaut de son sexe frais ne demandant qu’à s’ouvrir sous la caresse. Je suce son bouton d’amour en pétrissant ses fesses, lape ses lèvres déjà gorgées et redécouvre le goût exquis de son temple, buvant frénétiquement sa sève. Les yeux fermés, le temps s’arrête pour nous offrir ce long cunnilingus. Christine tremble sur ses jambes, me traite de jeune fou, mais ne cherche surtout pas à y mettre un terme. Elle s’allonge sur le dos, elle relève ses jambes pour mieux s’offrir. Attentionné, je m’occupe de son entrejambe des fesses jusqu’au nombril, l’enculant à grands coups de langue avant de lui aspirer la vulve bruyamment, lui suçant le clitoris en enfilant deux doigts dans son vagin. Sa tête roule, elle se mord les lèvres, puis d’un coup jouit en criant fort, son vagin libérant un impressionnant flux de cyprine que naturellement j’aspire sans prendre le temps de réfléchir. Tout doucement, je ralentis la cadence et l’intensité de mes « sévices » pour lui permettre de revenir à la réalité. Un grand sourire illumine son doux visage, et elle me demande de venir sur elle pour pouvoir m’enlacer. — Et dire qu’un amant ...
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