Christine
Datte: 03/05/2020,
Catégories:
fh,
jeunes,
voisins,
copains,
bain,
forêt,
campagne,
noculotte,
Oral
fsodo,
... fougueux habitait à quelques centaines de mètres de moi… susurre-t-elle à mon oreille. Tu apprends vite ! Encore ! Il ne nous faut que quelques secondes pour nous retrouver nus. Nos bouches se livrent à un tourbillon de baisers, ne laissant aucune parcelle en souffrance. Lorsque mes testicules disparaissent l’un après l’autre entre ses lèvres, ma queue bande déjà dur entre ses doigts. Je me retrouve vite entre ses cuisses dans un délicieux 69 horizontal. Comment ai-je pu ne pas connaître un tel plaisir plus tôt ! Ça devrait être enseigné à l’école, tant cela est subtil et épanouissant. Avec une infinie tendresse, sa langue joue avec mon nœud, m’irradiant de puissantes sensations. Mais Chris a d’autre projet qu’une simple gâterie, me demandant de venir sur elle. Ses cuisses se referment sur mes reins, nos bouches se lient, sa douce main me guide en elle avec beaucoup de douceur. — Hier, nous étions pressés de jouir, mais aujourd’hui, il faut que l’on prenne notre temps. N’écoute pas ton sexe lorsqu’il t’ordonne de venir, retiens-toi. Ainsi nous pourrons faire l’amour plus longtemps, ce sera plus fort. Viens en moi. Je prends note de ses conseils, me sentant d’un coup responsable de son plaisir, en position dominante pour la première fois de ma vie sexuelle. D’instinct, je commence à onduler très légèrement pour pouvoir la pénétrer doucement. Ses mains sur mes hanches me rassurent. Nos regards s’affrontent tendrement entre deux baisers, alors que mon membre se fraye un ...
... passage dans sa petite chatte. — Je ne te fais pas mal ?— Oh, non ! Continue comme ça, tout doucement, ne t’arrête pas, me rassure-t-elle. C’est délicieux. J’effectue de lents va-et-vient, savourant chaque millimètre gagné à l’intérieur de son vagin brûlant, en ressentant les moindres contractures. Elle m’accompagne, propulsant doucement son bassin pour répondre à chacun de mes élans, ses mains sur mes hanches. Je saisis un de ses seins et le malaxe, pinçant son téton sensible, m’obligeant ainsi à ne pas me focaliser que sur la pénétration, mais sur le plaisir de ma partenaire. On se rejoint rapidement, mon gland butant contre son col. Elle m’embrasse, griffe tendrement mon dos, me dit des mots doux en commentant le plaisir qu’elle prend. — Oh Max. Encore ! J’essaie de réagir à ses appels, mes coups de reins se font plus rapprochés, plus intenses. Sa croupe décolle pour venir à ma rencontre, ses gémissements deviennent râles profonds, m’implorant de continuer à la pénétrer en de longs et profonds assauts. Puis soudain, ses traits se figent, les dents serrées, son vagin tente d’écraser mon sexe planté en elle. Tandis qu’un jet de mouille trempe mes bourses, Christine crie sa jouissance jambes nouées dans mon dos, son bassin se projetant dans une série de contractions spasmodiques l’empalant bien plus que ce que je n’aurais jamais osé lui infliger. Un immense bonheur m’envahit d’avoir pu lui donner ce plaisir sans que je ne jouisse moi-même. Des ailes me poussent dans le dos, je ...