1. Des vacances et des épreuves (9)


    Datte: 03/05/2020, Catégories: Gay

    Où il était question d’un empalement et où il sera question de mon épreuve. Je n’arrivais pas à croire que mon Mâle m’avait abandonné à ce sort ! Seule, au milieu de nulle part, habillée en tout et pour tout d’un porte-jarretelles et de bas nylon, en sandalettes mais surtout empalée sur un énorme Phallus organique qui me tenait prisonnière par le cul ! J’arrivais à peine prendre appui sur mes talons et chaque mouvement me rappelait par la douleur que mon fion en était l’enjeu. J’avais soif, j’étais lamentablement à la merci de n’importe quoi, de n’importe qui ! Je pleurais comme une gamine et chaque sanglot m’arrachait de la douleur. J’avais fait pipi sans pouvoir rien contrôler, ma ridicule virilité entre mes jambes que je ne sentais plus était elle aussi sous l’emprise du Phallus. Mes tétons huilés restaient dressés comme pour me dire que cela me plaisait d’être ainsi humiliée. Le soleil commençait gentiment à décliner quand j’entendis des bruits derrière moi. Puis des voix : « Regarde, y’a quelqu’un à l’arbre des supplices ! ». Les pas se firent plus présents. Honteuse, le regard baissé, je n’osais défier les deux inconnus, impuissante et ridicule. — OOOh ! Mais c’est Pascaline, notre copine lopette !! . — Mon Dieu oui ! Stéphane et Daniel !! Oui c’était bien eux que j’avais devant moi qui me regardaient comme un oiseau en cage : « Pitié, libérez moi, je vous en supplie !! ». — Ô ma pauvre, commenta Daniel, me caressant la joue, comme cela doit être douloureux pour toi. — ...
    ... On n’a pas le droit de libérer une lopette du Phallus, argumenta Stéphane. Ce serait une violation. — Pitiiiiéé ! — Désolé Pascaline mais on ne peut pas faire cela. Mais soit courageuse. On est avec toi de tout cœur ! — Salauds !! Vous êtes des salauds !! — OOh ! Tu entends cela chéri ? Elle est nous insulte ! Après tout ce que nous lui avons fait ! Tu devrais avoir honte ! Daniel me gifla de deux claques suivi par Stéphane qui m’en balança deux autres. Je fondis encore en larmes, suppliant et priant mais rien ne leur fit changer d’avis. Stéphane m’attrapa les parties génitales et les serra dans sa main. La douleur vint dépasser celle du Phallus dans mon cul : « Tu vois, tu peux t’estimer heureuse car il y a des douleurs encore plus vives !!! ». Ils me regardèrent ainsi durant plusieurs minutes, sans rien faire pour moi : « En tout cas tu portes très bien la lingerie pour femme ! On savait que tu allais devenir une bonne petite femelle et inutile de te dire que ta place n’est pas dans la communauté gay mais bien dans la catégorie lopette, hi hi hi ! — En fait, renchérit Stéphane, on savait que tu étais ici, c’est David qui nous l’a dit. On est venu te dire au revoir. Nous partons demain matin. On espère que tu survivras à cette épreuve et nous voulions t’offrir un petit cadeau d’adieu ! Sur ces paroles, mes deux amis commencèrent à s’embrasser et se masturber devant moi. Quelques minutes plus tard, Daniel et Stéphane éjaculèrent sur moi, mon ventre, mes jambes gainées de bas, ...
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