1. Des vacances et des épreuves (9)


    Datte: 03/05/2020, Catégories: Gay

    ... mon sexe. Ils récoltèrent un peu de leur semence et me la portèrent à mes lèvres que je nettoyai avec désespoir tant j’avais soif. Dégoulinante de foutre, ils me laissèrent à mon sort. Je perdis la notion du temps. Le froid s’empara de moi tandis que la nuit recouvrit d’ombres ce lieu terrible. A peine conscient, j’eus tout de même la lucidité de sentir la présence de mateurs autour de moi, des chuchotements, des petits bruits de branlettes, de fermetures éclair, de langues fourrées. Des hommes de la nuit me rendaient visite pour s’amuser de moi. J’étais leur victime impuissante qui ne pouvait refuser d’être souillée de leurs jets de spermes visqueux, de leurs léchouilles à mes parties génitales et mes tétons. On m’enduisait de foutre, on m’embrassait de force, on me pissait dessus comme on pisserait au pied d’un arbre. On me traitait de salope, de pédale, de lopette. Il en est un qui est même venu avec une tondeuse me raser le crâne, un autre me voler mes bas nylons et mes sandalettes qui m’ont encore empalé plus profond. On m’a mis ma petite culotte dans la bouche après l’avoir aspergé de foutre et de pisse. Un couple de lesbiennes sont venues me fouetter avec des branches d’ortie, sur le sexe, les jambes, le torse. Elles m’ont craché dessus et déféqué à mes pieds. Le patron du camping est venu avec sa femme me poser des pinces sur les tétons, sur le sexe et les bourses, on m’a prise en photos des ...
    ... dizaines de fois pour me montrer que je leur appartenais. phvpttym Pascaline était mise en pâture, exhibée comme une fiotte, asservie et utilisée comme vide couilles. Quand les premiers rayons du soleil vinrent scintiller sur mon corps avili, j’étais à peine conscient. Une ombre humaine s’avança vers moi pour me soulever de cette Bite monstrueuse. Une panique incontrôlable se fit en moi. Je ne voulais pas être libérée ! Je voulais que ce Phallus retrouve la place qui était la sienne ; dans mon cul. Ce vide immense en moi était insupportable. L’inconnu s’enfuit, me laissant toute seule, nue et couverte de sperme. J’essayai de marcher, trébuchai plusieurs fois, me relevai, encore et encore pour essayer de rejoindre mon bungalow. Il m’a fallu deux heures, rampant comme une chienne pour atteindre le camping. Les genoux et le cul en sang j’entrevis les premiers bungalows tandis que mes forces me lâchèrent. Je tombai dans une sorte de coma durant ce qu’il me parut être une éternité. Quand je revins à moi, le soleil avait fait son œuvre. Je sentais des brûlures sur tout mon corps, le sperme avait séché en croûtes douloureuses. Je me levai comme j’ai pu, claudiquant avec comme unique vêtement un porte-jarretelles à ma taille. Le regard cynique de certaines personnes me fut indifférent et, sans rien pouvoir penser, mes pas me conduisirent à l’appartement de David. Il m’ouvrit la porte et m’accueillit dans ses bras. 
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