Thea au service d'Erika (1)
Datte: 04/05/2020,
Catégories:
Voyeur / Exhib / Nudisme
... course. Je trottine presque pour ne pas me faire tirer. Arrivées au camion, elle ouvre la portière passager. Un autre poids lourds a prit la place de notre voisin vicieux. Il n’y a personne dans la cabine. J’approche lentement mon visage de celui d’Erika pour l’embrasser. Sa main empoigne sauvagement mes cheveux bruns. Je gémis de surprise. Un courant électrique lèche mon ventre. Sa bouche embrasse avidement la mienne. Sa langue est d’une douceur sensuellement excitante. Elle a gardé le doux mélange amer des plantes de son thé. Son parfum embrase mes sens. Je ne contrôle plus rien. Je la désire au plus profond de mon être. C’est plus qu’un besoin, c’est une nécessité, comme si ma vie en dépendait. Je presse son corps fin et élancé contre le mien. Ma poitrine s’écrase contre la sienne. Mes tétons durcissent. Je la serre plus fort, à vouloir la fondre dans mes veines. — Monte dans le camion ! M’ordonne Erika. Ses mains caressent délibérément mes fesses pendant que je grimpe sur mon siège. Un courant électrique lèche mon ventre. J’ai envie qu’elles s’aventurent plus bas. Je ralentis ma progression et frotte mes fesses contre ses mains. Erika les claque subitement. Surprise, je pousse un cri aiguë. Son rire cristallin retentit. Elle referme la portière passager. Erika grimpe derrière le volant. Comme une stripteaseuse, je déboutonne les boutons de mon chemisier un à un très lentement, mes mains caressent délibérément mes seins par-dessus le tissu. Le regard brûlant d’Erika suit ...
... chacun de mes gestes. Je fais glisser le vêtement en satin de mes épaules. Je m’en caresse sensuellement les seins, le ventre, entre mes cuisses écartées. Les yeux troublés de la jeune femme suivent mes mains. Elle se lèche les lèvres. J’imagine qu’elle ne s’attendait pas à ce petit show. C’est la première fois que je fais un truc pareil pour une femme. Ça m’excite de m’offrir à son regard libidineux. Me plaçant à quatre pattes sur le siège, je tends mes fesses à Erika. Je descends le zip de ma jupe, lentement en tortillant sensuellement mon derrière. Passant les doigts sous la ceinture, je la fais glisser très lentement, mes hanches cambrées ondulent. La jupe glisse aux genoux, je caresse mes fesses, ma raie, jusqu’au petit gonflement de mes lèvres emprisonnées dans mon tanga. Mon collant est trempé de ma mouille. Ça m’excite de savoir qu’Erika voit que je la désire, que je mouille pour elle. Je me rassoies sur mon siège. Je relèves mes pieds joints en l’air, les mains plaquées le long de mes jambes, je fais remonter ma jupe jusqu’à mes talons aiguilles. Un gracieux mouvement de pied l’envoie voler à travers la cabine. J’approche un pied de ma bouche, les bras sensuellement passés autour de ma jambe, j’embrasse mon soulier, lèche la pointe. Je ne suis pas fétichiste des pieds, mais je me sens prête à tout pour exciter Erika et combler tous ses désirs. Mon jeu lui plaît. Elle prend ma deuxième cheville délicatement entre ses mains. La jeune femme enlève mon escarpin. — Tu as ...