Thea au service d'Erika (1)
Datte: 04/05/2020,
Catégories:
Voyeur / Exhib / Nudisme
Théa au service d’Erika La petite aire d’autoroute d’Ecot dispose uniquement de toilettes d’une propreté douteuse. Le soleil avait une apparence fantomatique derrière les nuages gris. Je suis arrivée en avance à mon rendez-vous. Très frileuse, mon corps petit et menu grelotte. Les bras croisés, je ressers mon blouson sur ma poitrine. Je sautille sur place, sous le auvent de la maisonnette. J’attends un semi remorque bleu de marque Volvo. Je guette l’entrée des véhicules et des camions sur l’aire d’autoroute. Je consulte ma montre pour la énième fois, impatiente. Les dents qui claquent, je reprends mon sautillement frénétique. Mon portable sonne. La voix féminine, très sensuelle, à l’autre bout du fil m’apprend qu’elle a prit du retard dans sa livraison. Je me suis inscrite sur un site de covoiturage deux jours auparavant. Je me rends à une fête des anciens élèves à Lyon. La seule personne qui m’a répondu est Erika. Je l’ai appelé, ensembles nous avons fixées l’heure et le lieu du rendez-vous. Erika m’a dit d’attendre un poids lourd bleu. Je fus intriguée. Dit-on une femme routier ou une routière ? Le semi remorque approche enfin. J’attrape la poignée de ma valise, en admiration devant la cabine américaine. J’avais toujours admiré les camions, mais je n’étais jamais montée dans l’un d’eux. Le poids lourds se gare facilement sur son emplacement réservé. Je m’en approche. Une jeune femme de taille moyenne apparaît à l’angle de la cabine. — Je suis Erika, tu dois être Théa ? ...
... J’acquiesce, impressionnée par son assurance. Je plonge dans ses yeux bleus lagon, je perds pieds. Ses lèvres roses framboises attisent ma gourmandise. Muette et incapable de remuer, je me trouve pathétique. Son bras m’enlace chaleureusement, elle embrasse mes joues. Je hume la fragrance subtile de son parfum floral qui s’harmonise à son odeur naturelle. Ce rapprochement me trouble. Les joues brulantes, mon cœur chante la sérénade. Mon corps s’enflamme au contact de sa poitrine qui se presse contre la mienne. Ses yeux me dévisagent. Une lueur malicieuse les illumine. Une part, au fond de moi, espère que cette attirance est réciproque. — Monte dans le camion ! Ordonne Erika. Mon corps se consume au son de sa voix ferme et sensuelle. J’ouvre la portière passager. Impressionnée par la hauteur à grimper, Erika me propose son aide. Sur ses indications, je pose mon pied sur le marchepieds, j’attrape la poignée sur ma droite. Ensuite, je pose ma main sur le bord du siège, et me hisse tant bien que mal. Des mains se posent sur mon postérieur et me poussent vers le haut. Le mouvement soulève ma jupe. L’air frais caresse mes fesses vêtues d’un collant fin. Je me retourne discrètement, Erika est en train de regarder sous ma jupe. Je sens mon intimité se contracter délicieusement de désir d’être explorée et caressée. Ravie, je grimpe sur mon siège. Ma jupe est relevée sur le haut de mes cuisses. Erika pose la valise à mes pieds. Ses yeux caressent mes jambes. Elle ferme la portière. La vue ...