1. Les tourments érotiques du jeune Markus Milka (3)


    Datte: 04/05/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... l’invita à s’asseoir en tailleur sur la tombe. Le ciel était dégagé et la pleine lune éclairait l’endroit qui n’était pas aussi lugubre qu’il l’avait imaginé. Un parfum de fleurs coupées et arrosées embaumait le lieu et le vent frais caressait doucement les cheveux des deux visiteurs. Françoise s’adressa directement au défunt, à voix basse. — Je t’ai apporté ce que tu m’as demandé l’année dernière, Jean : un beau jeune homme soumis, prêt à endurer sans discuter tout ce qu’on lui demandera. Pour cette nuit, il est pour toi : je te l’offre. Prends-le à ta guise. Puis, s’adressant à Markus : — Mets-toi nu, maintenant, s’il-te-plait. Puis reste à quatre pattes sur la pierre tombale, et laisse-toi faire. Le jeune homme était fort surpris, mais il obtempéra, se rappelant qu’il s’était donné comme esclave et qu’il n’avait pas à discuter des ordres, sauf à prononcer le mot de sécurité. D’ailleurs, depuis la veille, il avait oublié quel était ce mot de sécurité, car il n’avait pas vraiment envie de s’en souvenir. La lune éclairait son élégant corps d’éphèbe, d’une blancheur presque irréelle. Françoise l’embrassa sur la bouche, puis, connaissant son goût fétichiste, lui donna à lécher ses pieds sales, délicieusement enduits de sueur et de la poussière des chemins. ejxettbh — Maintenant, tiens-toi prêt, dit-elle, sans préciser à quoi. Il ne tarda pas à le savoir : il sentit que son anus était pénétré ; il se retourna pour voir qui le sodomisait, mais il ne vit rien que des cyprès dont ...
    ... les branches s’agitaient sous la brise. Il frissonna, s’avisant qu’il était enculé par un partenaire invisible, n’ayant que des sensations tactiles pour apprécier l’étreinte. C’était bien un phallus qui entrait dans sa bouche tripale, assez imposant, long autant qu’épais, mais froid, au contraire de celui, brulant, de William qui l’avait pénétré la veille à deux reprises. Il entendit le bruit d’une respiration courte et rauque, et n’osa pas essayer de toucher son étrange compagnon d’étreinte homosexuelle. Il n’éprouvait pas de plaisir à cela, mais Françoise, en même temps, caressait son visage et l’encourageait à supporter stoïquement l’épreuve. Simultanément, elle avait soulevé un pan de sa robe obscure et se caressait le conin herbu, en pinçant son clitoris entre index et majeur à travers le fourreau. Elle transpirait beaucoup, et jouit brusquement en fermant les yeux. C’était plus qu’un simple spasme : il sembla à Markus qu’elle était entrée dans une extase au cours de laquelle elle avait quitté son corps pour aller embrasser sur la bouche celui qui le sodomisait. Le jeune entendit distinctement le contact des quatre lèvres, la lente succion des muqueuses collées l’une sur l’autre, en même temps qu’un lent gémissement de la femme, comme un chant de plaisir joyeux et léger. Cela dura plusieurs minutes durant lesquelles le garçon se persuada qu’il était en train de rêver. La mentule qui le pénétrait fit gicler, au creux des intestins du garçon, une rasade de foutre froid mais ...